Sinusite aiguë | transcription écrite | Quiz
SINUSITE AIGÜE
1. Qu’est-ce qu’une sinusite aiguë ?
2. Quelles sont les causes des sinusites ?
3. Comment se traite une sinusite ?
1. Qu’est-ce qu’une sinusite aiguë ?
La sinusite aiguë est une infection de la muqueuse qui tapisse les sinus de la face. Il s’agit de cavités osseuses creusées dans le massif facial. Les sinus maxillaires sont situés en regard des pommettes, les sinus frontaux en regard des sourcils. Ils sont recouverts d’un tissu muqueux et produisent des sécrétions qui s’évacuent en permanence dans les fosses nasales.
Cette infection peut être d’origine virale ou bactérienne et touche le plus souvent le sinus maxillaire. Elle se manifeste par de la fièvre, et des douleurs au niveau du ou des sinus concernés et d’un écoulement purulent des fosses nasales.
2. Quelles sont les causes des sinusites ?
Les sinusites on 2 causes principales. Elles sont :
• soit d’origine nasale, à la suite d’un rhume, ou rhinopharyngite.
• soit d’origine dentaire à la suite d’une carie ou d’un abcès non traité.
3. Comment se traite une sinusite ?
• Lorsque la sinusite est d’origine virale, la guérison est spontanée dans la majorité des cas. Le traitement vise donc simplement à calmer la douleur par des médicaments antalgiques et diminuer la fièvre par des antipyrétiques.
• Lorsque la sinusite est d’origine bactérienne et qu’elle n’évolue pas favorablement, la prise d’antibiotiques peut être nécessaire.
Dans tous les cas, des lavages de nez sont indispensables en raison de leur action mécanique visant à nettoyer la muqueuse malade.
Enfin il est nécessaire de traiter une infection dentaire si celle-ci est à l’origine de la sinusite.
Lorsque les sinusites se répètent ou que des complications surviennent un examen complet doit être réalisé par un spécialiste ORL afin d’identifier la cause et de proposer un traitement spécifique.
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 1er OCTOBRE 2018
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Sinusite aiguë | Quiz
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Nez bouché ou obstruction nasale | transcription écrite | Quiz
NEZ BOUCHÉ
NEZ BOUCHÉ
1. Définition
2. Quelles sont les causes de l’obstruction nasale ?
1. Définition
L’obstruction nasale est simplement le fait d’avoir le nez bouché. Ce symptôme fréquent ne doit pas être banalisé car la respiration par le nez à un rôle important. En effet, le passage de l’air dans les fosses nasales permet de le filtrer, de l’humidifier et de le réchauffer avant son arrivée dans les poumons. Les causes de l’obstruction nasale sont multiples.
2. Quelles sont les causes de l’obstruction nasale ?
1- Il peut s’agir d’une obstruction causée par l’inflammation de la muqueuse. L’obstruction nasale est alors souvent bilatérale et s’accompagne d’autres symptômes comme un écoulement nasal ou des éternuements. La cause la plus fréquente est le simple « rhume », mais il peut s’agir aussi d’une sinusite, d’une rhinite allergique ou d’une polypose naso-sinusienne pour lesquels il existe des traitements efficaces.
2- Il peut s’agir d’une obstruction mécanique liée à la forme du conduit des fosses nasales comme une déviation de la cloison nasale ou un épaississement des cornets. Dans ce cas l’obstruction est souvent unilatérale, ancienne et sans autre symptôme associé. Si la gêne est importante, un traitement chirurgical peut être proposé.
Si la gêne est récente et qu’elle s’accompagne de saignement de nez l’avis d’un spécialiste ORL est indispensable d’éliminer une cause tumorale qui reste cependant exceptionnelle.
Si vous souhaitez en savoir plus n’hésitez pas à en parler à votre médecin.
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 1er OCTOBRE 2018
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Nez bouché ou obstruction nasale | Quiz
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Ronflement | transcription écrite | Quiz
RONFLEMENT
RONFLEMENT
1. Qu’est ce que le ronflement ?
2. Quelles sont les conséquences du ronflement ?
3. Comment se traite le ronflement ?
1. Qu’est ce que le ronflement ?
Le ronflement est une respiration bruyante qui survient au cours du sommeil. Il est le reflet sonore de la vibration des tissus qui tapissent la gorge comme le voile du palais, la luette ou les amygdales. Il est favorisé par la position allongée et le relâchement musculaire qui survient durant le sommeil.
2. Quelles sont les conséquences du ronflement ?
Elles sont essentiellement liées la gêne ressentie par l’entourage, dont la qualité du sommeil peut être perturbé. Cependant, certains ronflements sont le témoin d’une maladie que l’on nomme « Syndrome d’Apnée du Sommeil ». Ce syndrome est caractérisé par la survenue de pauses respiratoires au cours du sommeil dont les conséquences sur l’organisme peuvent être grave et justifier un avis médical en cas de doute.
3. Comment se traite le ronflement ?
Tout d’abord, il existe des facteurs de risque qui doivent être traités en priorité. Ainsi, chez les patients en surpoids, la perte pondérale s’avère souvent très efficace.
Un bilan anatomique complet doit être réalisé en consultation par un spécialiste ORL. Cet examen permet de visualiser les éléments responsables de la vibration afin d’orienter le patient vers un traitement adapté.
• Le port d’une orthèse d’avancée mandibulaire est une solution parfois efficace. Il s’agit d’un appareillage dentaire que l’on met en place avant dormir afin d’éviter le recul de la mâchoire et de la langue qui participe à la survenue du ronflement.
• Les traitements chirurgicaux sont réservés à des situations bien précises. Ainsi, l’ablation des amygdales peut être proposée afin de faciliter le flux respiratoire lorsque les amygdales sont très volumineuses. Ce geste est parfois associé à une pharyngoplastie dont l’objectif est de retendre les tissus du voile du palais lorsque leur participation au ronflement et clairement mise en cause.
Le ronflement est un problème fréquent mais qui n’est pas inéluctable. Si vous souhaitez en savoir plus n’hésitez pas à en parler à votre médecin.
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 1er OCTOBRE 2018
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Ronflement | Quiz
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Saignement du nez | Quiz
SAIGNEMENT DU NEZ | épistaxis
SAIGNEMENT DU NEZ | épistaxis
1. Qu’est-ce qu’une épistaxis ?
2. Quelle est la cause d’une épistaxis ?
3. Quels sont les symptômes ?
4. Comment traiter l’épistaxis ?
5. Épistaxis de la tache vasculaire
La névrite vestibulaire aiguë est une maladie aiguë provoquée par une inflammation d’un des 2 nerfs vestibulaires. Ces nerfs issus du système vestibulaire de l’oreille interne contribuent de façon active au maintient de l’équilibre.
1. Qu’est-ce qu’une épistaxis ?
Une épistaxis ou saignement de nez est une hémorragie survenant au niveau de la muqueuse qui tapisse les fosses nasales et les sinus de la face.
L’épistaxis est une affection extrêmement fréquente. 60 % de la population générale présente au moins 1 fois dans sa vie un saignement de nez. La fréquence est comparable chez l’enfant et chez l’adulte. Il s’agit d’une affection souvent bénigne mais selon ses caractéristiques d’abondance, la fragilité des sujets atteints l’épistaxis peut s’avérer être une véritable urgence pouvant mettre en jeu le pronostique vital.
2. Quelle est la cause d’une épistaxis ?
Il existe des causes locales et des causes plus générales avec parmi elles :
Au niveau local :
• traumatismes de la face et du nez (première cause d’épistaxis)
• infections et inflammatoires de la muqueuse nasale (rhume, sinusite, rhinite chronique)
• tumeurs des fosses nasales et des sinus (rare mais très important à rechercher)
Au niveau général :
• hypertension artérielle
• trouble de la coagulation sanguine (prise de médicaments anti-coagulants, maladie hématologique)
• maladie des vaisseaux sanguins (vascularite, maladie de Rendu Osler)
3. Quels sont les symptômes ?
On retrouve un écoulement de sang survenant au niveau des muqueuses qui tapissent les cavités nasales. L’écoulement de sang peut-être :
• antérieur par l’une des narines ou par les deux (uni ou bilatéral)
• postérieur (en arrière vers la gorge)
• les deux à la fois
Un saignement de nez peut être associé à d’autres symptômes : pâleur, malaise, sueurs, pouls rapide, anxiété, agitation. Il s’agit de signes de gravité qui doivent motiver une prise en charge en urgence, particulièrement chez les personnes fragiles (patient âgé, maladie cardio-vasculaire, jeunes enfants).
4. Comment traiter l’épistaxis ?
Le traitement sera guidé par un interrogatoire du patient qui permet de noter ses traitements, ses antécédents et le mode de survenue de son épistaxis. Un examen ORL après mouchage doit rechercher le siège du saignement.
Lorsque l’épistaxis est de faible abondance et bien tolérée, on peut souvent la traiter par une compression simple compression bidigitale. Pour cela il faut :
• se moucher doucement pour faire sortir les plus gros caillots de sang des fosses nasales.
• s’assoir et se pencher légèrement la tête vers l’avant, en regardant vers le sol et en respirant par la bouche.
• placer son pouce et son index juste sous la partie osseuse de son nez, puis pincez ses narines.
Lorsque l’épistaxis résiste à cette première approche un tamponnement (méchage) des fosses nasales peut-être réalisée par un médecin. Il s’agit d’introduire un tissu hémostatique dans la partie avant des fosses nasales. Ce tamponnement est réalisée après mise en place d’un produit d’anesthésie locale et de vasoconstricteur. Pour une compression plus efficace, on effectue parfois un méchage dans les deux narines, même en cas de saignement unilatéral. Le tamponnement postérieur est une procédure plus agressive qui permet un méchage de la zone située à l’arrière des fosses nasales. Il est réservée à des situations plus rares d’épistaxis difficilement contrôlables.
Lorsque l’épistaxis et sévère, mal tolérée ou lorsque les différentes techniques de méchage ne permettre pas de la contrôler, une intervention chirurgicale ou une embolisation des vaisseaux du nez peuvent être proposés.
5. Épistaxis de la tache vasculaire
La « tache vasculaire » est une zone anatomique richement vascularisée situés à l’avant de la cloison nasale. Cette zone qui correspond au point de convergence de 3 systèmes artériels, saigne parfois facilement lorsque les vaisseaux sont trop développés. Le saignement de cette zone est toujours bénin, on l’appel « épistaxis essentielle ». Il touche surtout les sujets jeunes et provoque un saignement nasal qui survient de façon inopinée, sans cause apparente et le plus souvent d’un seul coté.
Le contrôle de l’hémorragie se fait par une simple compression digitale de la pointe du nez. En cas de récidive fréquente, un médecin ORL peut réaliser une cautérisation sous anesthésie locale des vaisseaux incriminés qui s’avère très efficace.
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 23 JUIN 2018
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Epistaxis (Saignement du nez) | Quiz
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Éthmoïdite | Quiz
ÉTHMOÏDITE
ÉTHMOÏDITE
1. Qu’est ce qu’une ethmoïdite ?
2. Quelle est la cause de cette infection ?
3. Quels sont les symptômes ?
4. Comment est fait le diagnostic ?
5. Comment traiter une ethmoïdite ?
6. Comment prévenir l’infection ?
1. Qu’est ce qu’une ethmoïdite ?
Une ethmoïdite est une infection, généralement bactérienne, du sinus ethmoïdal. Les sinus sont des petites cavités remplies d’air présentes naturellement dans les os de la face et qui communiquent avec le nez. Le sinus ethmoïdal se situe au dessus de la racine du nez, entre les deux yeux.
2. Quelle est la cause de cette infection ?
Cette infection peut apparaître chez l’adulte mais atteint majoritairement les nourrissons et les jeunes enfants. Elle commence souvent par une rhinopharyngite virale banale (rhume) qui va se prolonger et se sur-infecter. Des bactéries pathogènes vont contaminer la muqueuse du sinus fragilisée par la survenue récente du rhume et la coloniser pour aboutir à un tableau d’éthmoïdite.
3. Quels sont les symptômes ?
Chez l’enfant, l’éthmoïdite se manifeste sous la forme d’une rhinopharyngite d’abord banale qui se prolonge et s’aggrave avec l’apparition des symptômes suivants :
• Un mal de crâne autour des orbites, intense, associé à une fièvre supérieure à 39°C
• Une rhinorrhée (nez qui coule), avec des sécrétions purulentes.
• Un œdème douloureux de la paupière supérieure dans le coin interne de l’œil.
Du fait de la proximité du sinus ethmoïdal avec les yeux et le cerveau, des complications rares mais potentiellement graves sont à redouter :
• Un abcès du cône orbitaire : il est révélé par un œil exorbité, une baisse de la vision, une paralysie d’un muscle oculaire qui provoque une diplopie (vision double).
• Une infection cérébrale : différents tableaux sont possibles comme une méningite ou des abcès méningés et cérébraux qui restent cependant très exceptionnels.
4. Comment est fait le diagnostic ?
Le diagnostic est suspecté par devant l’apparition des symptômes cités ci-dessus. Un examen ORL, ophtalmologique et neurologique minutieux doit être réalisé.
Si une complication est suspectée un scanner du massif facial et du crâne doit être réalisé.
Cet examen met en évidence un comblement du sinus ethmoïdal par une œdème de la muqueuse et la présence de pus. Il permet de dépister la présence des complications occulaires et cérébrales et notamment la présence d’abcès.
5. Comment traiter une ethmoïdite ?
Il s’agit d’une infection rare mais potentiellement grave qui nécessite une prise en charge active en urgence.
Un traitement à domicile avec consultations rapprochées est parfois possible si l’infection est à un stade débutant, mais le plus souvent une hospitalisation de l’enfant est nécessaire pour surveillance est instauration du traitement.
Un traitement antibiotique à large spectre doit être instauré afin de juguler l’infection bactérienne. Ce traitement est secondairement adapté lorsque les germes impliqués ont été identifiés par une analyse bactériologique des sécrétions nasales.
Un traitement des symptômes est prescrit en parallèle pour lutter contre la douleur et la fièvre au moyen de Paracétamol. Des lavages de nez abondants et répétés doivent être réalisés afin de favoriser le drainage des sinus et l’évacuation des sécrétions purulentes. Ces lavages peuvent être associés à l’application intra-nasale de vasoconstricteurs locaux.
Un traitement chirurgical en urgence est indispensable si l’infection est découverte à un stade avancé afin de drainer un abcès plus particulièrement au niveau de l’orbite.
6. Comment prévenir l’infection ?
Chez l’enfant, l’ethmoïdite complique le plus souvent une rhinopharyngite. Certaines mesures peuvent limiter les risques de surinfection :
• Le lavage de nez de l’enfant au sérum physiologique ou le mouchage (si il est en âge), plusieurs fois par jour est capital pour limiter la stagnation des sécrétions nasales et leur colonisation par des bactéries.
• En cas de rhinopharyngite simple la prise d’anti-inflammatoire ou de corticoïdes est déconseillée car elle peut favoriser le développement d’infections bactériennes graves comme l’ethmoïdite.
• L’évolution d’une rhinopharyngite est souvent favorable en 7 à 10 jours, il convient de consulter un médecin devant la persistance de la fièvre ou l’apparition de symptômes inhabituels.
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 23 JUIN 2018
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Ethmoidite | Quiz
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Syndrome d’apnée du sommeil | Quiz
Syndrome d’apnée du sommeil
Syndrome d’apnée du sommeil
1. Qu’est ce que le syndrome d’apnée du sommeil ?
2. Quelles sont les causes de ce syndrome ?
3. Pourquoi est-il important de le diagnostiquer et le traiter ?
4. Quelles sont les symptômes ?
5. Comment fait-on le diagnostic ?
6. Quels sont les traitements ?
1. Qu’est ce que le syndrome d’apnée du sommeil ?
Le syndrome d’apnées du sommeil est un syndrome fréquent affectant près de 5% de la population, majoritairement des hommes après 60 ans, mais il peut survenir à tout âge.
Il se caractérise par la répétition durant le sommeil d’épisodes de ralentissement (hypopnée) ou d’interruption complète (apnée) du passage d’air dans les voies aériennes supérieures responsable de pauses respiratoires de quelques secondes. Ces pauses respiratoires entrainent des micros réveils réactionnels non perçus par le patient.
2. Quelles sont les causes de ce syndrome ?
Ce syndrome est du à l’obstruction partielle ou complète des voies aériennes durant le sommeil par relâchement excessif des muscles de la langue et de la gorge bloquant le passage d’air. Plusieurs facteurs favorisent ces obstructions :
• surpoids
• obésité
• sexe masculin
• certaines prédispositions anatomiques.
Une association est fréquemment retrouvée entre ce syndrome et le syndrome dit métabolique définit par une obésité et des troubles métaboliques (diabète, hypertension artérielle, anomalies du cholestérol et des triglycérides).
3. Pourquoi est-il important de le diagnostiquer et le traiter ?
Au-delà des symptômes fréquents et invalidants qu’il provoque ce syndrome augmente fortement le risque de développer des pathologies graves :
• hypertension artérielle
• infarctus du myocarde
• accident vasculaire cérébral
• troubles du rythme cardiaque
4. Quelles sont les symptômes ?
Le symptôme majoritaire est une fatigue chronique avec somnolence excessive durant la journée.
Souvent sont présents des symptômes :
Diurnes :
• mots de tête matinaux
• difficultés de concentration et d’attention
• baisse de libido
Et nocturnes :
• envie plus fréquente d’uriner la nuit
• ronflements
• pauses respiratoires avec reprise bruyante de la respiration
5. Comment fait-on le diagnostic ?
Le diagnostic est établi par un examen consistant en l’enregistrement de plusieurs paramètres durant le sommeil, appelé polygraphie ventilatoire, réalisable en ambulatoire. Cet examen permet de déterminer le nombre d’épisodes d’apnée par heure de sommeil appelé index apnée du sommeil (IAH). Le diagnostic est posé si celui-ci est l’IAH est >5 chez l’adulte. Le syndrome est dit sévère si l’IAH est >30 chez l’adulte. Un examen du sommeil plus approfondi peut parfois être réalisé (polysomnographie).
6. Quels sont les traitements ?
Il n’existe pas de traitement médicamenteux.
Le traitement de référence pour les apnées est la ventilation par pression positive continue(PPC). Il s’agit d’un appareil insufflant de l’air dans les voies aériennes afin que celles-ci restent ouvertes, grâce à un masque. Porté toutes les nuits, il améliore la qualité de vie en quelques semaines.
En cas de contre-indications à la PPC ou d’apnée modérée, il peut être utilisé une orthèse d’avancé mandibulaire dont le principe est de faciliter le passage d’air dans les voies aériennes en maintenant la mâchoire inférieure et la langue quelques millimètres en avant.
Parfois cas une chirurgie peut être proposée.
En parallèle des mesures hygiéno-diététiques sont à associer :
• réduction pondérale
• arrêt consommation alcool
• arrêt de la consommation d’excitants le soir
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 23 JUIN 2018
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Syndrome d'apnée du sommeil | Quiz
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La rhinite allergique | Quiz
La rhinite allergique
La rhinite allergique
1. Qu’est ce que la rhinite allergique ?
2. Quelque chiffres
3. Quels sont les mécanisme ?
4. Comment faire le diagnostic de la rhinite allergique ?
5. Comment traiter une rhinite allergique ?
1. Qu’est ce que la rhinite allergique ?
La rhinite allergique est une inflammation de la muqueuse des fosses nasales. Elle résulte d’une activation excessive du système immunitaire en réponse à une substance étrangère nommée « allergène ». Elle entraîne des symptômes à type d’éternuements et d’écoulement nasal qui peuvent avoir un retentissement important sur la qualité de vie.
2. Quelque chiffres
La rhinite allergique est une affection très fréquente qui concerne 24% de la population française. Elle est fortement associée à l’asthme puisque 80% des asthmatiques en sont atteints.
3. Quels sont les mécanisme ?
La rhinite allergique est due à l’interaction de l’environnement (allergènes) et d’un terrain génétique prédisposant.
Génétique :
le système immunitaire est codé par un ensemble de gènes qui ne sont pas les mêmes selon les individus, ce qui explique pourquoi certaines personnes sont plus à risque de développer des symptômes d’allergie. Les gènes sont transmis par les parents, d’où le caractère familial que l’on peut retrouver dans cette affection.
Principaux allergènes :
• les acariens : on les retrouve surtout dans la literie (draps, matelas, couettes et oreillers) et les poussières. Leur présence est favorisée par l’humidité.
• les animaux domestiques : poils de chat et de chien, ongles, salive, déjections
• les pollens : ce sont les allergènes d’extérieur les plus fréquents, ils font l’objet d’une surveillance par les organismes de santé permettant l’élaboration de calendriers polliniques
• autres : les moisissures, les blattes
4. Comment faire le diagnostic de la rhinite allergique ?
Le diagnostic repose sur l’association de signes cliniques compatibles et sur la preuve du caractère allergique des symptômes. En effet, les causes de rhinite sont nombreuses, il est donc indispensable de démontrer qu’il existe une allergie.
Les principaux signes cliniques sont regroupés sous l’acronyme PAREO :
• Prurit (démangeaisons du nez)
• Anosmie (diminution de l’odorat)
• Rhinorrhée (écoulement nasal typiquement clair et liquide)
• Éternuements
• Obstruction nasale (sensation de nez bouché).
Des symptômes oculaires (conjonctivite) peuvent également être associés.
Le diagnostic d’allergie repose sur l’apparition des symptômes en présence de l’allergène et une batterie de test. Les tests les plus souvent employés sont les « prick-tests ». Ils consistent à introduire dans l’épiderme une petite quantité d’allergène à l’aide d’une aiguille fine. Le test est positif s’il apparaît une réaction cutanée. Les allergènes testés sont ceux cités précédemment qui sont les plus courants. D’autres tests sont possibles mais moins fréquemment utilisés comme le dosage des IgE spécifiques et les tests de provocation.
5. Comment traiter une rhinite allergique ?
La prise en charge comporte plusieurs volets.
Tout d’abord, il faut éviter l’exposition aux allergènes :
• les animaux : ils doivent rester à l’extérieur et en aucun cas ne doivent séjourner dans la chambre à coucher. La séparation n’est pas recommandée, mais en cas de départ de l’animal, les allergènes peuvent persister pendant plusieurs mois dans l’habitat
• les acariens : il faut lutter contre l’humidité, aspirer les poussières, laver les draps régulièrement à température élevée (60°C), envelopper les matelas avec des housses anti-acariens
• les pollens : l’exposition est difficilement évitable au printemps ; il existe des calendriers polliniques et des cartes en fonction des régions exposées consultables sur internet
Des médicaments sont disponibles pour diminuer les symptômes :
• lavage nasal au sérum physiologique
• les antihistaminiques par voie orale ou locale
• les corticoïdes en pulvérisation nasale
Enfin, une prise en charge des facteurs favorisants est également nécessaire. Elle associe sevrage tabagique et prise en charge du stress et de l’anxiété car le retentissement sur le sommeil est fréquent.
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 23 JUIN 2018
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Rhinite | Quiz
Polypose naso-sinusienne | Quiz
Polypose naso-sinusienne
Polypose naso-sinusienne
1. Qu’est ce que la polypose naso-sinusienne ?
2. Qui est concerné par la polypose naso-sinusienne ?
3. Comment se fait le diagnostic de polypose naso-sinusienne ?
4. Quel est le traitement de la polypose naso-sinusienne ?
1. Qu’est ce que la polypose naso-sinusienne ?
La polypose naso-sinusienne est une sinusite chronique inflammatoire responsable d’une dégénérescence oedémateuse de la muqueuse sinusienne aboutissant à la formation de polypes.
Les polypes sont des petites tumeurs bénignes translucides, qui vont rapidement grossir et envahir l’ensemble des cavités nasales et sinusiennes, le plus souvent de façon bilatérale. L’origine de la polypose naso-sinusienne reste encore mal connue.
2. Qui est concerné par la polypose naso-sinusienne ?
La polypose naso-sinusienne touche 2 à 4 % de la population, mais jusqu’à deux tiers des patients asthmatiques. Elle atteint indifféremment les femmes et les hommes.
Elle peut être associée à :
• un asthme (la polypose est souvent découverte après l’asthme)
• une intolérance à l’aspirine (le patient présente une maladie de Fernand Widal, associant polypose nasale, asthme et intolérance à l’aspirine)
• une allergie
• une mucoviscidose (responsable de la majorité des polyposes naso-sinusiennes chez l’enfant de 4 à 12 ans)
3. Comment se fait le diagnostic de polypose naso-sinusienne ?
Les deux symptômes majeurs pour lesquels les patients consultent, sont l’obstruction nasale quasi permanente (nez bouché) et l’anosmie (perte d’odorat).
À cela peuvent se rajouter des douleurs au niveau du front, des yeux, des maxillaires en cas d’infection associée, des éternuements et un écoulement nasal.
Le médecin recherchera toujours une allergie connue, un asthme, une intolérance à l’aspirine ou encore une mucoviscidose, car ces pathologies peuvent accompagner la polypose naso-sinusienne.
A l’examen, le nez est d’aspect normal sauf en cas de polypose volumineuse qui déforme une ou deux narines. Le diagnostic repose sur la fibroscopie nasale. Cet examen pratiqué en consultation sous anesthésie locale, permet de retrouver les polypes et d’apprécier leur extension. Le plus souvent les polypes touchent les deux narines. Dans le cas contraire, il faut éliminer une tumeur maligne.
Un scanner des cavités naso-sinusiennes est ensuite réalisé, il permet de :
• confirmer le diagnostic et l’extension de la maladie
• apprécier la réponse au traitement
• guider une éventuelle chirurgie
Un bilan allergologique peut être demandé en fonction du terrain et en cas d’asthme associé, une consultation pneumologique est nécessaire.
4. Quel est le traitement de la polypose naso-sinusienne ?
En l’absence de traitement, les polypes vont s’étendre et envahir l’ensemble des cavités nasales provoquant une obstruction nasale totale très invalidante avec une perte d’odorat complète.
Des complications infectieuses graves rares peuvent s’associer par atteinte cérébrale (abcès, méningites) et des yeux.
- TRAITEMENT MÉDICAL
Il repose sur la prescription de corticoïdes locaux (par voie nasale) au long cours et de corticoïdes par voie générale (orale) en cure courte de 6 à 10 jours, avec antibiothérapie en cas de surinfection. Des antihistaminiques sont prescrits en cas d’allergie documentée.
A cela s’ajoutent :
• le lavage quotidien des fosses nasales, permettant une meilleure efficacité des corticoïdes locaux
• l’arrêt du tabac
• le traitement d’un éventuel reflux gastro-oesophagien
• l’éviction totale de l’aspirine et des anti-inflammatoires non-stéroïdiens en cas de maladie de Widal
- TRAITEMENT CHIRURGICAL
La chirurgie peut être envisagée en cas d’échec du traitement médical ou de contre- indication à la corticothérapie. La polypectomie consiste à retirer les polypes sous anesthésie locale ou générale. La nasalisation consiste à transformer le nez et les sinus en une seule cavité. Le traitement chirurgical permet de lever l’obstruction nasale, de diminuer la fréquence des infections et de retrouver l’odorat si la perte n’est pas trop ancienne. Mais il n’exclut pas un traitement corticoïde local afin d’éviter des récidives.
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 23 JUIN 2018
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Polypose naso-sinusienne | Quiz
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Rhinopharyngite | Quiz
Rhinopharyngite
Rhinopharyngite
1. Qu’est-ce qu’une rhinopharyngite ?
2. Quelle est la cause des rhinopharyngites ?
3. Quels sont les symptômes ?
4. Comment traiter une rhinopharyngite ?
5. Pourquoi les rhinopharyngites sont-elles si fréquentes chez l’enfant ?
1. Qu’est-ce qu’une rhinopharyngite ?
La rhinopharyngite est communément, appelée « rhume ». Il s’agit d’une infection virale bénigne de la muqueuse qui tapisse les cavités nasales et le pharynx. Elle est causé par une multitude de virus comme les picornaviridés (dont les rhinovirus), les adénovirus ou les coronavirus.
2. Quelle est la cause des rhinopharyngites ?
Il s’agit d’une infection virale contagieuse dont la fréquence augmente aux périodes froides. Les virus sont transmis de deux façons :
• par voie aérienne, lors de la toux ou d’éternuement
• par contact avec de la salive ou des sécrétions nasales contaminées
La période d’incubation dure généralement entre 2 et 5 jours.
3. Quels sont les symptômes ?
Les symptômes sont variables d’une personne à l’autre et selon le type de virus incriminé.
Il existe souvent des symptômes généraux comme une fatigue, des frissons, une sensation de pesanteur de la tête, des courbatures, une perte d’appétit et un léger fébricule.
Ces signent s’accompagnent de signes locaux qui dominent souvent le tableau. On retrouve des signes de rhinite (inflamation de la muqueuse nasale) comme des démangeaisons du nez, des éternuements, le nez qui coule et un larmoiement; des signes de pharyngite (inflammation de la muqueuse du pharynx) comme une sensation de sécheresse et de brûlure de la gorge, une toux et des douleurs à la déglutition.
Les deux symptôme les plus marqués sont :
• l’écoulement nasal (rhinorrhée). Dans un premier temps cet écoulement est souvent clair liquide. Puis il change d’aspect après quelques jours et devient plus épais et coloré (jaune-vert). Quelques jours plus tard il change à nouveau d’aspect en s’éclaircissant avant de diminuer en quantité et disparaitre progressivement.
• l’obstruction nasale peut être unilatérale, bilatérale ou à bascule et peut être accompagnée par des maux de tête et une sensation de plénitude de la face et des oreilles.
L’intensité et l’évolution des symptômes est très variable. Leur résolution spontanée apparait après souvent après 7 à 15 jours d’évolution.
4. Comment traiter une rhinopharyngite ?
La rhinopharyngite est une affection bénigne, pour laquelle il n’existe pas de traitement spécifique notamment anti-viral.
La prise en charge est donc symptomatique afin de soulager les symptômes. Elle s’appuie sur :
• des lavages des fosses nasales au sérum physiologique associés au mouchage du nez, qui évitent la stagnation des sécrétions purulentes, limite la gène et le risque de surinfection
• des antalgiques en cas de douleurs
• antipyrétiques en cas de fièvre
• des vasoconstricteurs par voie nasale peuvent être envisagés en cas d’obstruction nasale invalidante, en de l’absence de contre-indications
Des mesures de préventions doivent aussi être mises en oeuvre afin de proteger les sujets à risque et de limiter la propagation de l’infection. Ces mesures concernent essentiellement les personnes porteuses et les sujets fragiles qui devront respecter les règles suivantes:
une hygiene des mains et l’utilisation régulière de solution de lavage hydro-alcoolique
le port de masque par les personnes contagieuses exposées au public
éviter les contacts affectifs comme les accolades, les baisers et même les poignets de main
Un traitement antibiotique par voie générale n’est pas justifié en l’absence de complications, chez l’adulte comme chez l’enfant. Les complications sont rares mais possibles. Il s’agit essentiellement de surinfections bactériennes ou de sinusites aiguës. On peut observer des troubles respiratoires associées chez des patients bronchitiques ou emphysémateux.
5. Pourquoi les rhinopharyngites sont-elles si fréquentes chez l’enfant ?
La rhinopharyngite est la maladie infectieuse la plus fréquente chez l’enfant. Leur système immunitaire n’est pas encore totalement mature ce qui les rend plus vulnérables aux infections de la vie courante. Les rhinopharyngites de l’enfant sont souvent bénignes et participent au développement de leur système immunitaire. Cependant, la répétiton des épisodes infectieux peut être à l’origines de complications comme une otite séreuse, une baisse de l’audition ou une éthmoïdite qui imposent alors une prise en charge adaptée.
Il existe aussi des facteurs de risque qui favorisent la survenue de ces infections chez l’enfant comme :
• le tabagisme passif
• la pollution aérienne
• la vie en communauté (en crèche par exemple)
• le reflux gastro-oesophagien
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 23 JUIN 2018
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Rhinopharyngite | Quiz
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Polysomnographie | Quiz
Polysomnographie
Polysomnographie
1. Qu’est-ce qu’une polysomnographie ?
2. Quand réaliser une polysomnographie ?
3. Comment se déroule une polysomnographie ?
4. Quels sont les résultats possibles de cet examen ?
1. Qu’est-ce qu’une polysomnographie ?
La polysomnographie est un examen médical qui a pour objectif de mesurer la qualité du sommeil. Cet examen indolore et sans risque, permet de diagnostiquer des troubles du sommeil en mesurant de nombreux paramètres physiologiques au moyen de capteurs électroniques.
2. Quand réaliser une polysomnographie ?
Cet examen est généralement prescrit par un médecin lorsqu’il existe une suspicion de trouble du sommeil à l’interrogatoire. Les signes suivants sont évocateurs :
• Pendant la nuit
-
- Ronflement très prononcé
- Blocage respiratoires et réveil, ou micro-éveil avec sensation d’étouffement
- Sueurs
• Pendant la journée
-
- Somnolence handicapante
- Trouble de l’attention et de la concentration
- Sommeil jugé non réparateur
- Hypertension artérielle
- Maux de tête
3. Comment se déroule une polysomnographie ?
L’examen se déroule le plus souvent en milieu hospitalier. Le patient est accueilli en fin de journée dans un centre du sommeil. Après un interrogatoire qui vérifie la faisabilité de l’examen, le patient est équipé de différents capteurs :
1- Des électrodes sur la peau qui permettent de réaliser :
– un Electroencéphalogramme (EEG) pour la mesure de l’activité cérébrale
– un Electromyogramme (EMG) pour la mesure de l’activité des muscles du menton, des bras et des jambes
– un Electroocculogramme (EOG) pour la mesure du mouvement des yeux pendant le sommeil
– un Electrocardiogramme (ECG) pour la mesure de l’activité du cœur
2- Un masque ou une canule nasale pour la mesure du flux d’air durant la respiration
3- Une sangle thoracique pour la mesure de l’activité des muscles respiratoires
5- Un sonomètre pour mesurer l’intensité sonore des ronflements
6- Un oxymètre de pouls pour mesurer la saturation en oxygène du sang
Le patient ainsi équipé passe la nuit à l’hôpital, sous la surveillance de l’équipe soignante et d’une caméra infra-rouge qui enregistre les mouvements nocturnes. En fin de nuit, les capteurs sont retirés et le patient peut rentrer à son domicile. Les données recueillies sont alors interprétées par un médecin spécialiste.
4. Quels sont les résultats possibles de cet examen ?
Les troubles du sommeil qu’une polysomnographie peut mettre en évidence sont très nombreux comme :
• le syndrome d’apnée obstructive du sommeil (SAOS)
• le syndrome des jambes sans repos
• la narcolepsie
• les insomnies
Le syndrome d’apnée obstructive du sommeil est de loin le trouble du sommeil le plus fréquent. Son diagnostic peut être affirmé grâce à un score appelé « index d’apnées-hypopnées » (IAH). Il s’agit de la somme des apnées et des hypopnées constatées sur la polysomnographie, durant chaque heure de sommeil en moyenne.
Une apnée est une pause respiratoire de 10 secondes ou plus. Une hypopnée est une désaturation d’au moins 30% de l’oxygène du sang pendant 10 secondes ou plus.
• lorsque ce score IAH est inférieur à 5, il n’y a pas d’apnée du sommeil.
• lorsque ce score IAH est supérieur à 5, le patient souffre d’apnée du sommeil :
-
- Entre 5 et 15, l’apnée est dite légère
- Entre 15 et 30, l’apnée dite modérée
- Plus de 30, l’apnée dite sévère
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 20 FEVRIER 2018
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Polysomnographie | Quiz
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Déviation de la cloison nasale | Quiz
Déviation de la cloison nasale
Déviation de la cloison nasale
1. Qu’est-ce qu’une déviation de la cloison nasale ?
2. Quelles sont les causes de déviation de la cloison nasale ?
3. Quels sont les symptômes d’une déviation de la cloison nasale ?
4. Comment diagnostiquer une déviation de la cloison nasale ?
5. Quel est le traitement d’une déviation de la cloison nasale ?
1. Qu’est-ce qu’une déviation de la cloison nasale ?
La cloison nasale (ou septum nasal) est une structure anatomique qui sépare la cavité nasale en deux espaces distincts, que l’on appelle les fosses nasales. Elle est composée d’os et de cartilage qui sont recouverts d’un tissu muqueux richement vascularisé. Cette cloison n’est jamais parfaitement droite mais, dans certain cas, la déformation et si marquée qu’elle provoque l’apparition de symptômes.
2. Quelles sont les causes de déviation de la cloison nasale ?
Il existe différents mécanismes qui peuvent être à l’origine d’une déviation de la cloison nasale
• les traumatismes de la pyramide nasale: accident, sport à risque.
• Les malformations congénitales: la déviation est présente dès la naissance.
• Les malformations acquises au cours de la croissance.
Quelles que soit leur origine, les déviations de cloison peuvent être plus ou moins complexes et plus ou moins sévères. Elles peuvent concerner la partie osseuse ou cartilagineuse, toute la cloison ou uniquement sa partie basse (le pied de cloison) ou sa partie antérieure. Quelque fois, une déformation externe de la pyramide nasale peut y être associée.
3. Quels sont les symptômes d’une déviation de la cloison nasale ?
Dans la plupart des cas, les déviations sont asymptomatiques et n’entrainent aucune gêne. Parfois, elle perturbe la circulation de l’air dans le nez et cause une gêne respiratoire qualifiée d’obstruction nasale. Cette obstruction a une intensité variable et peut concerner les deux narines (obstruction bilatérale) ou seulement l’une d’entre elle (obstruction unilatérale). Plus rarement cette déviation peut provoquer des saignements de nez ou favoriser la survenue d’infection du nez (rhinites) et des sinus (sinusites). Les déviations du septum nasal peuvent aussi participer à la survenue de trouble du sommeil comme les ronflements ou le syndrome d’apnée du sommeil.
4. Comment diagnostiquer une déviation de la cloison nasale ?
Le diagnostic peut être fait par un ORL qui met en évidence la déviation grâce à un examen endoscopique des fosses nasales au moyen d’un speculum nasal et d’instruments optiques. Un scanner des sinus de la face peut être proposé afin de cartographier la déviation nasale avec exactitude, notamment si un geste chirurgical est envisagé.
5. Quel est le traitement d’une déviation de la cloison nasale ?
Le choix du traitement dépend de l’importance de la gêne et des symptômes. Dans les formes asymptomatiques, aucun traitement n’est nécessaire. Si l’obstruction nasale est invalidante ou qu’elle participe à la survenue de sinusites ou d’apnée du sommeil un traitement doit être discuté.
La correction chirurgicale de la déviation de cloison est le traitement de référence. Cette intervention est appelée septoplastie. Cette septoplastie peut être associée à une correction de la forme de la pyramide nasale. On parle alors de septorhinoplatie.
Un traitement médical par lavage de nez au sérum salé et spray nasal anti-inflammatoire doit être proposé en première intention. Ce traitement permet de diminuer des phénomènes de congestion de la muqueuse nasale qui lorsqu’ils sont présents (allergies, infection), peuvent majorer les symptômes liés à la déviation de cloison nasale.
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 18 JUIN 2019
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Déviation de la cloison nasale | Quiz
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Nodule thyroïdien | transcription écrite | Quiz
NODULE THYROÏDIEN
NODULE THYROÏDIEN
1. Qu’est-ce qu’un nodule de la thyroïde ?
2. Quel bilan doit-on réaliser ?
3. Quel traitement peut-on proposer ?
1. Qu’est-ce qu’un nodule de la thyroïde ?
La thyroïde est une glande endocrine située à la base du cou qui sécrète des hormones indispensables au bon fonctionnement de l’organisme. Des nodules peuvent apparaitre sur cette glande. Il s’agit de formations arrondies constituées de tissu thyroïdien ou de liquide. Ces nodules sont extrêmement fréquents et touchent plus de 1 personne sur 3 après l’âge de 50 ans.
Ils sont généralement indolores et ne provoquent aucun symptôme. Leur découverte se fait souvent par hasard, au cours d’une échographie du cou ou d’un scanner réalisées pour un tout autre motif.
2. Quel bilan doit-on réaliser ?
Deux examens sont prescrits en première intention :
• Premièrement, un dosage des hormones thyroïdiennes dans le sang pour s’assurer que les nodules n’en produisent en quantité excessive.
• Deuxièmement, une échographie du cou. C’est l’examen de référence. Il permet d’analyser les nodules avec précision et de distinguer les nodules bénins, des nodules suspects qui peuvent être de nature cancéreuse.
En cas de doute, une ponction à l’aiguille fine des nodules à risque peut compléter le bilan. L’analyse au microscope des cellules ainsi prélevées permet d’orienter le patient vers une prise en charge adaptée.
3. Quel traitement peut-on proposer ?
La plupart des nodules sont bénins et ne provoquent aucun symptôme. Ils doivent cependant bénéficier d’une surveillance médicale au long cours afin de contrôler leur évolution.
Si les nodules sont suspects ou lorsqu’ils sécrètent une quantité excessive d’hormone, un geste chirurgical est parfois réalisé. L’intervention consiste à retirer une partie de la thyroïde ou sa totalité afin d’analyser la nature des nodules et de couper cours à leur évolution.
Les nodules de la thyroïde sont fréquents et doivent bénéficier d’un bilan et d’une prise en charge adaptée. Si vous souhaitez en savoir plus n’hésitez pas à en parler à votre médecin.
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 1er OCTOBRE 2018
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Nodule Thyroïdien | Quiz
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Hypothyroïdie | Quiz
HYPOTHYROÏDIE
HYPOTHYROÏDIE
1. Qu’est-ce que l’hypothyroïdie ?
2. Quelles sont les causes de l’hypothyroïdie ?
3. Quels sont les symptômes de l’hypothyroïdie ?
4. Comment faire le diagnostic d’hypothyroïdie ?
5. Comment traiter une hypothyroïdie ?
1. Qu’est-ce que l’hypothyroïdie ?
La thyroïde est une glande endocrine située à la base du niveau du cou. Cette glande produit plusieurs hormones indispensables au bon fonctionnement de l’organisme. Elles agissent sur le métabolisme, les émotions, l’humeur et la régulation de la fréquence cardiaque. Lorsque ces hormones sont sécrétées en trop faible quantité, on parle d’hypothyroïdie.
Le déficit en hormones thyroïdiennes peut être dû à :
• une atteinte de la glande thyroïde elle-même, on parle d’hypothyroïdie primaire ou périphérique.
• l’hypothyroïdie secondaire ou centrale est due à une atteinte hypothalamo-hypophysaire.
2. Quelles sont les causes de l’hypothyroïdie ?
La cause la plus courante de l’hypothyroïdie chez les adultes est la thyroïdite de Hashimoto. Il s’agit d’une maladie auto-immune au cours de laquelle l’organisme produit des anticorps qui détruisent progressivement la glande thyroïde.
• un mécanisme similaire est impliqué dans la thyroïdite auto-immune du post-partum
• la thyroïdite subaigüe de De Quervain correspondant à une inflammation du parenchyme thyroïdien, ainsi que la thyroïdite fibreuse de Reidel.
• l’hypothyroïdies médicamenteuse : iode radioactif ou par antithyroïdiens de synthèse. D’autres médicaments comme l’amiodarone, le lithium (pour traiter les troubles bipolaires) et l’interféron alpha (un médicament contre le cancer) peuvent être en cause.
• l’hypothyroïdie congénitale est une forme d’hypothyroïdie qui survient dès la naissance. Son dépistage est systématique. Elle est le plus souvent due à une anomalie de la formation de la thyroïde pendant la grossesse.
3. Quels sont les symptômes de l’hypothyroïdie ?
L’hypothyroïdie se manifeste habituellement par :
• Un syndrome d’hypométabolisme qui associe : asthénie physique et intellectuelle, frilosité, constipation, bradycardie, prise de poids modeste contrastant parfois avec une perte d’appétit.
Ce tableau peut être associé à :
• une atteinte neuromusculaire : enraidissement, crampes, myalgies.
• un retentissement endocrinien : troubles des règles, troubles de la libido.
Dans les formes les plus sévères et durables on retrouve parfois :
• une atteinte cutanée et des phanères : peau pâle ou jaunâtre, sèche, dépilée, la transpiration est diminuée, les cheveux sont secs et cassants.
• un myxœdème cutanéo-muqueux : la peau est infiltrée et épaissie au niveau des faces dorsales des mains et des pieds, du visage (« faciès lunaire »), du larynx (voix rauque), de la trompe d’Eustache (hypoacousie), de la langue (macroglossie et ronflements).
4. Comment faire le diagnostic d’hypothyroïdie ?
Le diagnostic est biologique devant la présence de signes cliniques évocateurs. Les analyses sanguines ont pour but de mesurer la production d’hormones thyroïdiennes. Elles révèlent un taux de TSH (l’hormone qui stimule la thyroïde) anormalement élevé, et un taux de T4 anormalement faible. Une fois le diagnostic établie des examens complémentaires sont réalisés pour identifier la cause responsable de l’hypothyroïdie.
5. Comment traiter une hypothyroïdie ?
La prise en charge de l’hypothyroïdie repose sur un traitement hormonal de substitution. Des hormones de synthèse, doivent être prises tous les jours afin de compenser le déficit de production naturel.
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 1er OCTOBRE 2018
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Bhypothyroïdie | Quiz
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Hyperthyroïdie | Quiz
HYPERTHYROÏDIE
HYPERTHYROÏDIE
1. Qu’est-ce que l’hyperthyroïdie ?
2. Quelles sont les causes de l’hyperthyroïdie ?
3. Quels sont les symptômes de l’hyperthyroïdie ?
4. Comment faire le diagnostic d’hyperthyroïdie ?
5. Quels sont les traitements de l’hyperthyroïdie ?
1. Qu’est-ce que l’hyperthyroïdie ?
L’hyperthyroïdie correspond à la surproduction d’hormones thyroïdiennes (T3-T4) par la glande thyroïde. L’impact de cet excès d’hormones thyroïdiennes sur les différents tissus cibles correspond au syndrome de thyrotoxicose.
La glande thyroïde est une glande essentielle au bon fonctionnement du métabolisme général (production de chaleur, d’énergie, augmentation de la consommation de CO2), de même elle possède des effets sur certains tissus spécifiques (cardio-vasculaires, système nerveux, remaniement osseux, favorise la lipolyse, augmente la glycémie…). La thyroïde est sous le contrôle de l’hormone hypophysaire, la TSH qui stimule toutes les étapes de la biosynthèse des hormones thyroïdiennes ainsi que la croissance de la glande.
2. Quelles sont les causes de l’hyperthyroïdie ?
Les étiologies de l’hyperthyroïdie sont nombreuses, on peut retenir entre autre :
• La maladie de Basedow : maladie auto immune due à la production d’anticorps (les TRAK) stimulant le récepteur de la TSH. En se fixant sur la thyroïde, ils induisent une forte production d’hormones thyroïdiennes. La maladie de Basedow est la cause la plus fréquente d’hyperthyroïdie.
• Le goitre toxique multi-nodulaire : présence d’un goitre thyroïdien avec plusieurs nodules sécrétant des hormones thyroïdiennes.
• Adénome toxique : présence d’un seul nodule thyroïdien qui sécrète des hormones thyroïdiennes.
• Hyperthyroïdie iatrogène : hyperthyroïdie causée par certains médicaments tels que l’iode retrouvée dans l’amiodarone (médicament utilisé dans les troubles du rythme cardiaque), les traitements à base d’hormones thyroïdiennes ou encore les interférons.
• Hyperthyroïdie du post partum : hyperthyroïdie transitoire touchant les femmes dans les semaines suivant l’accouchement. Elle peut récidiver après chaque grossesse.
3. Quels sont les symptômes de l’hyperthyroïdie ?
L’intensité des symptômes dépend du degré de thyrotoxicose, de son ancienneté et du terrain du patient.
Le syndrome de thyrotoxicose se manifeste par des signes très amplifiés de la fonction thyroïdienne normale. Certains organes sont plus sensibles à cet effet :
• Troubles cardiovasculaires : tachycardie régulière, perceptible par le patient, augmentation des bruits du cœur (éréthisme), une élévation de la pression artérielle systolique, un pouls vibrant
• Troubles neuropsychiques : nervosité excessive, agitation psychomotrice, labilité de l’humeur, insomnie, fatigue générale, tremblements des extrémités
• Troubles généraux : thermophobie (crainte de la chaleur), amaigrissement rapide et important sans perte d’appétit, polydipsie
• Troubles digestifs : augmentation de la fréquence des selles, diarrhées,
• Réaction de la paupière supérieure découvrant l’iris, très caractéristique de la maladie de Basedow
4. Comment faire le diagnostic d’hyperthyroïdie ?
Devant une symptomatologie évocatrice, on réalise un bilan sanguin avec en 1ère intention un dosage de la TSH qui est alors abaissée. Dans un second temps, on dose l’élévation des hormones thyroïdiennes (T3, T4) pour apprécier l’importance de la thyrotoxicose.
Lors de l’examen clinique, le médecin palpe la thyroïde afin de mettre en évidence un éventuel goitre ou la présence de nodules.
Afin de déterminer l’étiologie, une échographie thyroïdienne est systématiquement réalisée afin de d’évaluer la taille de la thyroïde et de confirmer la présence d’éventuels nodules.
Un dosage des anticorps anti-récepteur TSH (TRAK) permet de mettre en évidence une maladie de Basedow.
En cas de négativité des Ac anti-récepteur de la TSH, on réalise une scintigraphie injectée à l’iode ; de même qu’en présence de nodules afin de déterminer leur fonctionnalité.
5. Quels sont les traitements de l’hyperthyroïdie ?
Ils sont fonction de l’origine et de l’intensité de l’hyperthyroïdie. Différents traitements sont possibles :
• Antithyroïdiens de synthèse (ATS) : ils permettent de diminuer la synthèse d’hormones thyroïdiennes en bloquant une étape de la synthèse des hormones thyroïdiennes. Ils ont un délai d’efficacité de 10-15 jours et nécessitent une surveillance régulière (dosage de la T4, numération sanguine).
• Traitement chirurgical : notamment si présence de goitre ou de nodules. Deux possibilités thérapeutiques, soit l’ablation de la glande thyroïde en intégralité (thyroïdectomie), soit l’ablation d’un lobe de la glande (lobectomie thyroïdienne).
• Traitement par iode radioactif : il consiste à détruire une partie hyperactive de la thyroïde par irradiation interne.
• Après traitement chirurgical ou par irradiation, il est possible que ceux-ci entrainent une hypothyroïdie qui sera alors traitée par Lévothyroxine afin de maintenir une fonction thyroïdienne normale.
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Hyperthyroïdie | Quiz
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Maladie de Basedow | Quiz
MALADIE DE BASEDOW
MALADIE DE BASEDOW
1. Qu’est-ce que la maladie de Basedow ?
2. Quelles sont les causes de la maladie de Basedow ?
3. Quels sont les symptômes de la maladie de Basedow ?
4. Comment faire le diagnostic ?
5. Commet traiter une maladie de Basedow ?
1. Qu’est-ce que la maladie de Basedow ?
La maladie de Basedow est une hyperthyroïdie (production excessive d’hormones thyroïdiennes) d’origine auto-immune. Il s’agit de la cause la plus fréquente d’hyperthyroïdie. Elle touche le plus souvent des femmes jeunes.
2. Quelles sont les causes de la maladie de Basedow ?
La maladie de Basedow est due à une défaillance du système immunitaire : production et circulation d’anticorps stimulant le récepteur de la TSH situé sur la thyroïde (appelés les anticorps anti-récepteur de la TSH : TRAK). Cette stimulation de la thyroïde va entrainer la production excessive d’hormones thyroïdiennes (T3, T4) responsable d’un syndrome de thyrotoxicose. L’évolution se essentiellement fait par poussées suivies de périodes de rémissions.
3. Quels sont les symptômes de la maladie de Basedow ?
On retrouve les symptômes classiques d’une hyperthyroïdie définissant le syndrome de thyrotoxicose avec :
• Troubles cardiovasculaires : tachycardie, augmentation des bruits du cœur (éréthisme), augmentation de la pression artérielle, palpitations
• Troubles neuropsychiques : nervosité, agitation, labilité de l’humeur, fatigue générale, tremblement des extrémités, troubles du sommeil
• Thermophobie (crainte de la chaleur) associée à une hypersudation, des mains moites et chaudes
• Amaigrissement rapide et important sans perte de l’appétit
• Polydipsie
• Amyotrophie avec faiblesse musculaire
• Troubles digestifs : accélération du transit avec parfois des diarrhées
En association avec ces symptômes, on retrouve des signes caractéristiques de la maladie de Basedow :
• La présence d’un goitre à la base du cou (hypertrophie de la glande thyroïde) d’importance variable, élastique avec présence d’un souffle à l’auscultation
• Des manifestations oculaires typiques (pas toujours présentes) tels que :
– Œdème palpébral
– Exophtalmie
– Larmoiement
– Photophobie (crainte de la lumière)
– Signes inflammatoires de la conjonctive, des muscles périorbitaires, de la graisse rétro-orbitaire
Ainsi la collaboration avec un ophtalmologue est nécessaire
• Myxoedème prétibial : placard rouge à la face antérieure de la jambe
4. Comment faire le diagnostic ?
Le diagnostic d’hyperthyroïdie est évoqué devant l’association de plusieurs de ces troubles conduisant à réaliser un bilan sanguin avec en 1ère intention le dosage de la TSH qui est alors abaissée. Dans un second temps, on dose l’élévation des hormones thyroïdiennes (T3-T4) afin d’apprécier le degré de la thyrotoxicose.
Une fois l’hyperthyroïdie démontrée, la recherche d’une maladie de Basedow passe par :
• La recherche de manifestations oculaires spécifiques
• La palpation clinique de la thyroïde à la recherche d’un goitre
• La mesure des Anticorps anti-récepteurs de la TSH (TRAK)
• La réalisation d’une échographie qui montre une glande hypoéchogène, très vascularisée
• La réalisation d’une éventuelle scintigraphie marquée à l’iode (non indispensable) montrant une hyperfixation diffuse et homogène
5. Commet traiter une maladie de Basedow ?
• En 1ère intention on donne un traitement médical pendant une durée de 1 à 2 ans : les antithyroïdiens de synthèse (Thyrozol ®, Néomercaole®…) qui agissent en inhibant la synthèse des hormones thyroïdiennes. On y associe de la thyroxine pour compenser l’hypothyroïdie provoquée par ces médicaments. Une surveillance biologique est nécessaire afin de s’assurer de leur efficacité (normalisation de la TSH) et de dépister d’éventuels effets secondaires tels qu’une agranulocytose.
• En cas d’échec du traitement médicamenteux ou de récidive, on propose un traitement plus radical : traitement chirurgical qui consiste à l’ablation totale de la thyroïde (thyroïdectomie totale) ou irradiation par radio-iode qui a pour but de détruite la thyroïde ou des zones ciblées.
Dans tous les cas, une surveillance prolongée est recommandée pour dépister une éventuelle récidive ou une hypothyroïdie secondaire.
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 1er OCTOBRE 2018
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Maladie de Basedow| Quiz
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Cancer de la thyroide | Quiz
Cancer de la thyroïde
Cancer de la thyroïde
1. Qu’est-ce qu’un cancer de la thyroïde ?
2. Quelles sont les causes d’un cancer de la thyroïde ?
3. Quels sont les symptômes d’un cancer de la thyroïde ?
4. Comment faire le diagnostic d’un cancer de la thyroïde ?
5. Comment traiter un cancer de la thyroïde ?
6. Quel suivi pour un cancer de la thyroïde ?
1. Qu’est-ce qu’un cancer de la thyroïde ?
Le cancer de la thyroïde est une pathologie maligne de la thyroïde caractérisée par la prolifération anormale de cellules thyroïdiennes. Il existe différent type de cancer de la thyroïde en fonction du type cellule concerné :
• Cancer papillaire qui représente plus de 80% des cancers de la thyroïde
• Cancer folliculaire
• Cancer médullaire
• Cancer dédifférencié et anaplasique
• Lymphome de la thyroïde
2. Quelles sont les causes d’un cancer de la thyroïde ?
La plupart de ces cancers surviennent sans qu’une cause particulière soit identifiée. Cependant il existe des facteurs de risques qui favorisent la survenue de ces cancers comme :
• des antécédents familiaux de cancers de la thyroïde
• une radiothérapie du cou notamment dans l’enfance
• des anomalies génétiques particulières (mutation du gène RET)
L’incidence des cancers thyroïdiens est en augmentation dans les pays industrialisés, qui représente désormais le quatrième cancer de la femme en France. Cette augmentation est largement due à l’amélioration des techniques de détection qui identifient désormais de toutes petites tumeurs souvent très faiblement agressives.
3. Quels sont les symptômes d’un cancer de la thyroïde ?
Le cancer de la thyroïde ne provoque le plus souvent aucun symptôme. Ils sont découverts de façon fortuite lors d’un examen d’imagerie comme une échographie, un scanner ou une IRM réalisée pour une toute autre raison.
Le cancer peut être révélé par la présence d’un nodule de la thyroïde palpable ou visible. Plus rarement, il peut être révélé par un ganglion situé au niveau du cou ou par un trouble de la voix de la déglutition ou de la respiration qui sont liés à un envahissement du larynx ou de ses nerfs, de la trachée ou de l’œsophage. Des métastases situées dans les poumons ou les os peuvent aussi révéler la maladie.
4. Comment faire le diagnostic d’un cancer de la thyroïde ?
Le diagnostic d’un cancer thyroïdien est le plus souvent évoqué devant un nodule thyroïdien.
Une échographie doit être alors réalisée. Elle permet souvent de distinguer les nodules bénin des nodules cancéreux. Si un doute persiste il est possible de réaliser une cytoponction qui permet de prélever des cellules à l’intérieur du nodule. Leur analyse au microscope permet alors de mieux distinguer les nodules bénins des nodules cancéreux. Lorsqu’un nodule est douteux ou suspect de cancer un geste chirurgical (thyroïdectomie ou lobectomie thyroïdienne) doit être réalisé afin de retirer le nodule dont l’analyse au microscope est le seul moyen d’affirmer le diagnostique de cancer avec exactitude.
5. Comment traiter un cancer de la thyroïde ?
Le traitement dépend du type exact de cancer de la thyroïde ainsi que de multiples paramètres qui sont discutés en Réunion de Concertation Pluridisciplinaire, réunissant des médecins de différentes spécialités.
• Un traitement chirurgical (thyroïdectomie totale ou lobectomie thyroïdienne) est réalisé en première intention dans la plupart des cas. Ce geste peut être associé à l’ablation des ganglions lymphatiques qui drainent la thyroïde (curage ganglionnaire).
• Dans un deuxième temps un traitement par iode 131 en comprimé appelé IRAthérapie peut compéter le traitement des cancers papillaires et folliculaires.
• L’utilisation de chimiothérapies conventionnelles ou d’une radiothérapie est exceptionnelle. Elle est réservée à des formes agressives rares de la maladie.
6. Quel suivi pour un cancer de la thyroïde ?
Une fois le traitement réalisé un suivi à distance est mis en place afin de s’assurer de la rémission, de dépister d’éventuelles récidives, de s’assurer de l’efficacité et de la tolérance du traitement. Ce suivi s’appuie généralement sur un bilan échographie réguliers associé à l’étude de marqueurs sanguin comme la thyroglobulinémie ou la thyrocalcitoninémie.
Le pronostique des cancers de la thyroïde est dans l’ensemble excellent. Avec un taux de survie comparable à celui de la population normale pour la plupart des patients traités pour cancer papillaire de la thyroïde.
Il est à noter que les cancers médullaires, doivent conduire, si le patient y consent, à une étude génétique, visant à rechercher la mutation d’un gène (RET) qui prédispose à des Néoplasies Endocriniennes Multiples, permettant ensuite une enquête chez les apparentés pour prévenir l’apparition d’un cancer.
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Cancer de la thyroide | Quiz
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Hyperparathyroïdie primaire | Quiz
Hyperparathyroïdie primaire
Hyperparathyroïdie primaire
1. Qu’est-ce que l’hyperparathyroïdie primaire ?
2. Comment se manifeste l’hyperparathyroïdie primaire ?
3. Quels sont les causes de l’hyperparathyroïdie primaire ?
4. Comment faire le diagnostic de l’hyperparathyroïdie primaire ?
5. Comment traiter l’hyperparathyroïdie primaire ?
1. Qu’est-ce que l’hyperparathyroïdie primaire ?
Il s’agit d’une production anormalement élevée d’hormone parathyroïdienne, appelée parathormone (PTH), par les glandes parathyroïdes. Cette élévation de la parathormone est à l’origine d’une augmentation du taux de calcium dans le sang (hypercalcémie) par une augmentation de la résorption osseuse, par la réduction de l’élimination rénale du calcium et par l’augmentation de l’absorption intestinale de calcium.
Il s’agit de la maladie endocrinienne la plus fréquente chez l’adulte, après les pathologies thyroïdiennes. Elle touche 1 à 3 % de la population générale et principalement les femmes après 50 ans.
2. Comment se manifeste l’hyperparathyroïdie primaire ?
Cette maladie est asymptomatique dans plus de 80% des cas. Elle est découverte de façon fortuite, lors d’un bilan sanguin, qui met en évidence une élévation du taux de calcium associée à une élévation du taux de parathormone (ou des valeurs normales inappropriées). Le patient lui ne présente souvent aucun symptôme évocateur de la pathologie, car les complications progressent souvent à bas bruit et ne se révèlent et qu’à plus long terme.
L’hyperparathyroïdie primaire peut être à l’origine des complications suivantes :
• rénales : lithiases rénales calciques, colique néphrétique, néphrocalcinose et insuffisance rénale
• osseuses : ostéoporose pouvant se compliquer de fractures, chondrocalcinose et douleurs osseuses
• générales : troubles digestifs, constipation et asthénie
• neuropsychiques (cas d’hypercalcémie sévère) : comme une fatigue chronique, des troubles de la vigilance et des troubles cognitifs
3. Quels sont les causes de l’hyperparathyroïdie primaire ?
La cause la plus fréquente (85%) est la transformation d’une ou plusieurs glandes parathyroïdes en un adénome, qui sécrète de la parathormone en excès. Il n’y a pas, à ce jour, de cause, ni de facteur de risque connue pour expliquer cette évolution spontanée et isolée.
Des causes plus singulières sont retrouvées dans 15% des cas environ. Il peut s’agir :
• de formes familiales et génétiques d’hyperparathyroïdie, dans lesquels plusieurs glandes parathyroïdes sont souvent impliquées, sous la forme d’une hyperplasie
• d’un déficit marqué et durable en vitamine D
• de la prise de certains médicaments qui augmentant le taux de parathormone :
– diurétiques thiazidiques
– sels de lithium
Il convient de noter qu’une insuffisance rénale chronique peut être à l’origine d’une élévation du taux de parathormone, appelée hyperparathyroïdie secondaire, qui n’entre pas dans le cadre de cette présentation.
4. Comment faire le diagnostic de l’hyperparathyroïdie primaire ?
Le diagnostic repose sur la mesure du taux de parathormone et de calcium dans le sang, qui retrouve une hypercalcémie, associée à des valeurs normales ou élevées de parathormone.
Devant un tel tableau biologique, il faut éliminer :
• les causes d’hyperparathyroïdie secondaire, par une évaluation biologique de la fonction rénale
• une insuffisance en vitamine D
• une prise de médicaments provoquant une augmentation du taux de PTH
Une fois le diagnostic biologique confirmé, un bilan d’imagerie sera réalisé afin de localiser, la ou les glandes parathyroïdes hyperfonctionnelles. On prescrit pour cela :
• une échographie cervicale
• un TEP-Scanner à la Fluorocholine
5. Comment traiter l’hyperparathyroïdie primaire ?
Le traitement de référence est chirurgical. Il consiste à retirer, la ou les glandes parathyroïdes hyperfonctionnelles, par une incision réalisée à la partie base du cou. Un geste chirurgical ciblé et rapide sous anesthésie locale peut être réalisé. Ce geste limité s’adresse aux patients qui présentent un adénome de plus de 1cm parfaitement localisé par le bilan d’imagerie. Dans le cas contraire, un geste plus large, sous anesthésie générale, permettra une exploration plus complète du cou afin de faciliter l’identification et l’ablation des glandes malades.
Le traitement chirurgical n’est pas systématique. Il est cependant fortement recommandé si le patient présente des complications ou si son taux de calcium est supérieur à 2,75 mmol/L. Cette recommandation ne fait pas l’objet d’un consensus absolue car les progrès des techniques d’imagerie et de chirurgie font rapidement évoluer les indications de traitement.
Si le traitement chirurgical n’est pas réalisable ou en attendant sa mise en œuvre, un traitement médical peut être proposé. Il a pour objectif de normaliser le taux de calcium sanguin et d’éviter les complications de l’hypercalcémie. Il s’appuie sur les principes suivants :
• maintenir une hydratation suffisante
• mettre en route un traitement par Cinacalcet (médicament qui abaissent le taux de production de parathormone)
• éviter les diurétiques (les thiazidiques sont contre indiqués)
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 1er OCTOBRE 2018
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Hyperparathyroïdie primaire | Quiz
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Thyroïdite granulomateuse subaigüe de De Quervain | Quiz
Thyroïdite granulomateuse subaigüe de De Quervain
Thyroïdite granulomateuse subaigüe de De Quervain
1. Qu’est-ce que la thyroïdite granulomateuse subaigüe de De Quervain ?
2. Quels sont les symptômes ?
3. Quels examens médicaux sont nécessaires au diagnostic ?
4. Quels sont les traitements ?
5. Quelle est l’évolution de la Thyroïdite de De Quervain ?
1. Qu’est-ce que la thyroïdite granulomateuse subaigüe de De Quervain ?
La thyroïdite granulomateuse subaigüe ou thyroïdite de De Quervain est une maladie inflammatoire de la glande thyroïde. Cette glande endocrine située à la base du cou, produit des hormones indispensables au bon fonctionnement de l’organisme. Cette affection rare est plus fréquente chez les femmes. Elle survient le plus souvent à l’âge adulte (30-50 ans). Les causes de cette maladie ne sont pas totalement élucidées. Le rôle de certain virus est suspecté et la thyroïdite de De Quervain apparait souvent 2 à 3 semaines après une infection de la sphère ORL (rhinopharyngite, otites, sinusite, angine…). Des facteurs favorisant liés à l’immunité de chaque individu sont probablement associés.
2. Quels sont les symptômes ?
Cette maladie inflammatoire évolue en plusieurs temps. Elle commence classiquement par des signes de grippe associant fatigue, courbatures et fébricule.
Dans un premier temps, on observe une augmentation du volume de la thyroïde (goitre), qui devient douloureuse. Cette douleur parfois très intense peut irradier dans le reste du cou, la mâchoire ou le thorax. Le volume du goitre peut entrainer une compression relative des structures anatomiques qui l’entoure et provoque alors des difficultés de déglutition ou une oppression cervicale accompagnée d’une gêne respiratoire. Des signes d’hyperthyroïdie, c’est-à-dire d’une production trop importante d’hormones thyroïdiennes, sont présents dans la moitié des cas. Cette hyperthyroïdie peut être plus ou moins marquée et provoquer l’apparition de symptômes divers comme, une accélération du rythme cardiaque, une nervosité excessive, une sensation de chaleur permanente, des tremblements, des sueurs ou des douleurs musculaires. La durée de cette phase varie entre 2 et 8 semaines.
Il apparait ensuite une hypothyroïdie, c’est-à-dire une production insuffisante d’hormone thyroïdienne dont les symptômes passent souvent inaperçus. Il peut s’agir d’une fatigabilité, d’une frilosité, qui sont liées à un ralentissement général du métabolisme. La durée de cette phase est elle aussi de 2 à 8 semaines, après lesquels les symptômes disparaissent progressivement et spontanément. La thyroïde reprend alors le plus souvent, un fonctionnement et un aspect normal.
3. Quels examens médicaux sont nécessaires au diagnostic ?
Le diagnostic est essentiellement clinique devant la présence d’un goitre thyroïdien douloureux. Une série d’examen permet cependant de confirmer le diagnostic et d’assurer le suivi de la maladie.
La réalisation d’un bilan sanguin révèle :
• Un syndome inflammatoire : augmentation Vitesse de Sédimentation (VS) et de la C-Réactive Protein (CRP)
• Une TSH basse associée à des hormones thyroïdiennes T3 et T4 élevées durant la phase inflammatoire, puis une TSH augmentée avec des T3 et T4 normales ou légèrement abaissées durant la phase d’hypothyroïdie. Une élévation des anticorps antithyroïdiens est possible après la phase inflammatoire
Un bilan d’imagerie révèle :
• A l’échographie thyroïdienne, une glande volumineuse présentant de nombreuses zones hypoéchogènes mal limitées et faiblement vascularisée.
• A la scintigraphie à l’iode ou au technétium, une diminution nette de la captation du radiotraceur dont la fixation est hétérogène.
4. Quels sont les traitements ?
Il n’existe pas de thérapeutique spécifique de la maladie qui évolue favorablement en 2 à 3 mois. Les traitements ont pour objectifs de limiter les symptômes.
• Un traitement antalgique : il peut être prescrits durant la phase inflammatoire. Il peut s’agir de Paracétamol ou d’anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS).
• Un traitement corticoïde : son intérêt et discuté car son efficacité n’est pas clairement établie et ses effets secondaires sont parfois importants.
• Les antithyroïdiens ne sont pas indiqués même durant la phase inflammatoire. Dans les rares cas ou les symptômes d’hyperthyroïdie sont marqués un traitement par bétabloquant peut être proposé.
5. Quelle est l’évolution de la Thyroïdite de De Quervain ?
La guérison spontanée est obtenue entre quelques semaines et 2 ou 3 mois. Les récidives sont rares, mais parfois, l’évolution se fait en plusieurs poussées successives. L’apparition secondaire d’une hypothyroïdie permanente est possible, elle impose la mise en route d’un traitement par Levothyroxine.
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 20 FEVRIER 2019
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Thyroidite Granulomateuse | Quiz
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Otite externe | Quiz
OTITE EXTERNE | infection du conduit auditif
OTITE EXTERNE | infection du conduit auditif
1. Qu’est-ce qu’une otite externe ?
2. Quelle est la cause de cette infection ?
3. Quels sont les symptômes ?
4. Comment faire le diagnostic ?
5. Comment traiter une otite externe ?
6. Comment prévenir la survenue d’otite externe ?
1. Qu’est-ce qu’une otite externe ?
Une otite externe est une infection de la peau qui tapisse le conduit auditif externe. Elle provoque une douleur intense de l’oreille qui s’associe parfois à un écoulement sale et une baisse de l’audition.
2. Quelle est la cause de cette infection ?
Cette infection est souvent favorisée par des baignades répétées en piscine ou en milieu naturel. Les traumatismes de la peau du conduit auditif par coton tige, capuchon de stylo, trombone ou prothèses auditives sont régulièrement responsables d’otites externes. Les germes pathogènes colonisent la peau à partir des zones irrités ou blessées du conduit.
3. Quels sont les symptômes ?
On remarque généralement :
• Une douleur vive de l’oreille qui augmente à la mobilisation du pavillon
• Une démangeaison du conduit auditif
• Un écoulement sale du conduit auditif
• Une baisse de l’audition
4. Comment faire le diagnostic ?
Le diagnostic est fait par le médecin devant l’apparition des symptômes précédemment cités qui s’associent à un aspect évocateur du conduit auditif à l’examen otoscopique. Ce dernier retrouve un œdème du conduit auditif et un aspect inflammatoire typique.
L’ensemble de ces examens permet de poser le diagnostic de sinusite chronique, d’évaluer ses causes, son retentissement et de
proposer un traitement.
5. Comment traiter une otite externe ?
Lorsque l’infection est constituée, un traitement antibiotique local par gouttes auriculaires doit être proposé. Pour que celui-ci soit efficace, il est parfois nécessaire qu’un médecin ORL évacue les accumulations de sécrétion sales de l’intérieur du conduit. La mise en place d’un tampon à l’intérieur de l’oreille peut être proposée dans les cas les plus sévères. Pour amélioré la pénétration des antibiotique il est conseillé de rester allongés 10 à 20 minutes en position latérale (coté sain sur le matelas) une fois les gouttes instillées dans l’oreille.
Un traitement médical contre la douleur par voie générale doit être associé. Il fait souvent appel au Paracetamol, dans un premier temps en l’absence de contre-indication.
Il est important de garder son oreille sèche durant le traitement. La baignade est donc déconseillée pour 7 à 15 jours et l’oreille doit être protégée pour se laver les cheveux. Le cas échéant les prothèses auditives ne seront plus utilisées pendant la phase de guérison.
6. Comment prévenir la survenue d’otite externe ?
Il est possible de limiter les risques d’otite externe par les mesures suivantes :
• ne pas chercher à nettoyer l’intérieur de ses oreilles. La “cire” produite en excès par la peau du conduit auditif n’a pas besoin d’être évacuée. Le nettoyage doit se limiter à la partie externe visible du conduit. Le nettoyage doit être doux et ne doit pas être répéter trop souvent pour ne pas blesser ou irriter la peau qui est fine et fragile au niveau de l’oreille.
• lorsqu’un bouchon est constitué vous pouvez consulter votre médecin ORL pour un avis médical. Il réalisera sont évacuation sous contrôle optique si nécessaire.
• si vous êtes un nageur :
– évacuer l’eau de vos oreilles en secouant la tête puis utilisez un séchoir pour éviter la stagnation d’eau dans vos conduits auditifs.
– utilisez des protections auditives adaptées pour empêcher l’eau de pénétrer dans vos oreilles. Renouveler ses protections lorsque celles-ci sont usées ou sales.
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 23 JUIN 2018
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Otite extrene | Quiz
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Otite Moyenne Aiguë | Quiz
OTITE MOYENNE AIGUË | infection de la caisse du tympan
OTITE MOYENNE AIGUË | infection de la caisse du tympan
1. Qu’est-ce qu’une otite moyenne aiguë ?
2. Quelles sont est la cause des otites moyennes aiguës ?
3. Quels sont les symptômes d’une otite moyenne aiguë ?
4. Comment faire le diagnostic d’une otite moyenne aiguë ?
5. Comment traiter une otite moyenne aiguë ?
6. Comment évolue une otite moyenne aiguë ?
1. Qu’est-ce qu’une otite moyenne aiguë ?
L’otite moyenne aigue est une inflammation d’origine infectieuse de la muqueuse de l’oreille moyenne (située en arrière du tympan). Il s’agit de l’infection la plus fréquemment rencontrée chez les enfants (notamment chez le nourrisson entre 6 et 24 mois).
2. Quelles sont est la cause des otites moyennes aiguës ?
Il s’agit d’une infection virale dans la plupart des cas mais une infection bactérienne est parfois en cause. La contamination infectieuse se fait à partir du rhinopharynx et des cavités nasales par la trompe d’Eustache (aussi appelée trompe auditive, qui permet de relier ces structures à l’oreille moyenne).
Les enfants sont plus particulièrement touchés car leur système immunitaire n’est pas encore mature ce qui favorise la survenue d’infections rhinopharyngées à répétition. Chez les enfants, la trompe d’Eustache est souvent plus courte et plus perméable qu’à l’âge adulte, ce qui facilite le passage des germes jusqu’à l’oreille moyenne. Une hypertrophie des végétations adénoïdes qui est fréquente chez les enfants peut aussi constituer un « réservoir de germes ».
Il existe de plus chez l’enfant de nombreux facteurs favorisants la survenue d’une otite moyenne aiguë :
• la vie en collectivité (en crèche notamment)
• l’exposition au tabagisme passif et à la pollution
• les anomalies de la trompe d’eustache (fente palatine, trisomie 21, malformation locale,…)
• des antécédents d’otites récidivantes dans la famille
• l’absence d’allaitement maternel
• des conditions de vie et d’hygiène précaires
• la saison automno-hivernale (qui augmente la fréquence des infections)
• un premier épisode d’otite moyenne aigue précoce
3. Quels sont les symptômes d’une otite moyenne aiguë ?
L’otite moyenne aiguë survient souvent pendant ou après une rhinopharyngite (rhume). Le patient se plaint d’une douleur à l’oreille, plus ou moins intense. Cette douleur est associée à une baisse de l’audition qui n’est souvent pas signalée chez les enfants. Des signes infectieux généraux accompagnent le tableau avec une asthénie et un fébricule.
Il existe deux stades de l’otite moyenne aiguë :
• l’otite congestive : c’est-à-dire sans épanchement. Il s’agit d’une simple inflammation de la muqueuse de l’oreille moyenne.
• l’otite suppurée : lorsque l’inflammation s’accompagne d’un épanchement purulent en arrière du tympan; à ce stade l’otite peut-être soit collectée, soit perforée (si il y a une perforation du tympan).
4. Comment faire le diagnostic d’une otite moyenne aiguë ?
Le diagnostic est réalisé par un médecin, qui devant les symptômes précédemment décrits réalise un examen otoscopique, qui permet de visualiser le tympan et le conduit auditif externe. Le tympan présente en général un aspect inflammatoire caractéristique. En cas d’otite suppurée un épanchement purulent est visible en arrière du tympan et signe le diagnostic.
5. Comment traiter une otite moyenne aiguë ?
Le traitement est adapté en fonction du type d’otite :
Si l’otite est au stade congestif on mets en place:
• une désobstruction des fosses nasales à l’aide de sérum physiologique et parfois de vasoconstricteur intra-nasal.
• un traitement antalgiques et d’antipyrétiques par voie orale par du paracétamol.
• à ce stade, il n’est pas utile de recourir aux antibiotiques car l’évolution se fait vers une guérison en quelques jours.
Si l’otite au stade suppuré les traitements précédant sont associés à une antibiothérapie par voie orale.
Une paracentèse peut être réalisée dans de rares cas. Il s’agit d’une incision du tympan, sous anesthésie, qui permet de drainer le pus situé en arrière du tympan. Ce geste permet d’identifier les germes responsables de l’otite et de déceler d’éventuelles résistances aux antibiotiques. Cette procédure est réservée aux otites graves, compliquées ou résistantes aux traitements habituels.
6. Comment évolue une otite moyenne aiguë ?
L’évolution est le plus souvent favorable spontanément ou sous traitement. Cependant dans 10 à 20% des cas, l’otite aiguë peut évoluer vers une otite chronique, appelée aussi otite séro-muqueuse qui impose une prise en charge adaptée.
Si une otite aiguë suppurée n’est pas convenablement traitée des complications graves. Il s’agit essentiellement d’une extension de l’infection aux structures cérébrales situées à proximité. Cependant, en l’absence de facteur favorisant, comme un déficit de l’immunité, ces complications restent exceptionnelles.
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 23 JUIN 2018
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Otire moyenne Externe | Quiz
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Otite séreuse | Quiz
OTITE SÉREUSE | inflammation de la caisse du tympan
OTITE SÉREUSE | inflammation de la caisse du tympan
1. Qu’est-ce qu’une otite séreuse ?
2. Quelles est la cause de l’otite séreuse ?
3. Quels sont les symptômes d’une otite séreuse ?
4. Comment faire le diagnostic d’une otite séreuse ?
5. Comment traiter l’otite séreuse ?
6. Comment évoluent une l’otite séreuse ?
7. Comment évolue une otite moyenne aiguë ?
1. Qu’est-ce qu’une otite séreuse ?
L’otite séreuse est une maladie caractérisée par une inflammation chronique (pendant plus de 3 mois) de l’oreille moyenne, c’est-à-dire de la partie de l’oreille située derrière le tympan. Cette inflammation est responsable d’un épanchement de liquide dans l’oreille moyenne qui provoque une baisse de l’audition.
Cette affection est fréquente et touche près de la moitié des enfants avant l’âge de 5 ans. L’otite séreuse est bilatérale dans plus de 2/3 des cas.
2. Quelles est la cause de l’otite séreuse ?
L’otite séreuse est généralement considérée comme la complication d’une otite moyenne aigüe. Ainsi à la suite d’une otite moyenne aiguë, la présence de liquide peut persister dans l’oreille moyenne durant plusieurs mois. Cette évolution défavorable est favorisée par la répétition des otites moyennes aiguës, des épisodes de rhinite infectieuse et l’hypertrophie des végétations adénoïdes. Le tabagisme passif, la pollution, les allergies et les antécédents familiaux d’otite séreuse sont des facteurs de risque supplémentaire de cette pathologie.
3. Quels sont les symptômes d’une otite séreuse ?
L’otite séreuse n’est pas douloureuse et l’enfant ne se plaint souvent de rien. Cependant, l’accumulation de liquide dans l’oreille moyenne provoque une perte d’audition plus ou moins marquée qui peut avoir retentissement négatif sur le développement du langage et de la communication de l’enfant avec le temps.
4. Comment faire le diagnostic d’une otite séreuse ?
Devant des signes évocateurs, le diagnostic est posé par un médecin qui à l’aide d’un otoscope va constater l’existence de liquide derrière un tympan jaunâtre et rétracté. Des examens auditifs (tympanométrie, audiométrie) vont ensuite confirmer le diagnostic et permettre d’évaluer l’importance de la surdité.
5. Comment traiter l’otite séreuse ?
Le traitement consiste dans un premiers temps à limiter la fréquence et les effets délétères des épisodes de rhinopharyngite ou d’otite qui entretiennent l’’inflammation de l’oreille moyenne. Il faut pour cela laver régulièrement le nez de l’enfant à l’aide de sérum physiologique, limiter les facteurs irritants comme le tabagisme passif.
Lorsque l’évolution n’est pas spontanément favorable, il est parfois utile de mettre en place des aérateurs transtympaniques, plus communément nommées ‘’diabolos’’. Ces aérateurs permettent de restaurer une audition correcte en favorisant l’évacuation du liquide accumulé dans l’oreille moyenne. De même l’ablation des végétations adénoïde peut être associée à la mise en place de ces aérateurs afin de limiter l’effet défavorable de ce tissu immunitaire si celui-ci est hypertrophié. Vous pouvez consulter des vidéos d’information qui détaillent les modalités de ces interventions en cliquant sur les liens suivants : « Pose d’aérateurs transtynpaniques : préparer son intervention » et « Ablation des végétations adénoïdes : préparer son intervention ».
6. Comment évoluent une l’otite séreuse ?
L’évolution est le plus souvent spontanement favorable. Cependant, si elle n’est pas soignée la surdité qu’elle entraine peut causer des retard de langages chez les enfants.
L’otite séreuse peut aussi favoriser la survenue d’otites aiguës de façon répétées. Elle peut aussi laisser des séquelles sur le tympan et les osselets qui peuvent expliquer l’apparition d’une surdité résiduelle.
Attention, chez l’adulte une otite séreuse doit toujours être explorée par un médecin, car elle est parfois causée par des affections graves comme une tumeur du rhinopharynx.
7. Comment prévenir l’otite séreuse?
Les enfants sont plus sensibles aux otites séreuses car leur système immunitaire est immature. Il est donc difficile d’éviter ce type d’affection. Le meilleur geste en termes de prévention est le mouchage de nez régulier.
Il faut aussi savoir qu’il y existe des facteurs environnementaux qui peuvent être responsables de ces otites séreuses, comme le tabagisme passif, la pollution ou les allergies par exemple.
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 23 JUIN 2018
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Otire séreuse | Quiz
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Ostopongiose | Quiz
OSTOPONGIOSE | otosclérose
OSTOPONGIOSE | otosclérose
1. Qu’est-ce que l’otospongiose ?
2. Quelles sont les symptômes de l’otospongiose ?
3. Comment évolue la maladie ?
4. Comment faire le diagnostic d’une otospongiose ?
5. Comment traiter l’otospongiose ?
1. Qu’est-ce que l’otospongiose ?
L’otospongiose est une maladie de la structure osseuse de l’oreille. Une modification de la nature de l’os temporal appelée « otoslérose » empêche les osselets de bouger correctement et de transmettre les vibrations sonores recueillies par le tympan à l’oreille interne.
L’otospongiose est une maladie héréditaire autosomique dominante avec une pénétrance variable. Cela signifie que si un parent est atteint d’otospongiose les enfants présentent un risque de 50% de posséder eux-mêmes le gène responsable. Cependant, même s’ils sont porteurs du gène tous ne développent pas la maladie.
2. Quelles sont les symptômes de l’otospongiose ?
La perte d’audition (surdité) est le symptôme dominant de la maladie. Elle débute souvent entre 10 et 30 ans et peut être de 2 types :
• Quand l’otospongiose concerne uniquement les osselets, on observe une surdité dite « transmissionnelles ». Ce type de surdité peut être corrigée par des prothèses auditives ou par une intervention chirurgicale dont vous trouverez une vidéo d’explication sur ce site en cliquant sur le lien suivant : « Otospongiose : préparer son intervention ».
• Quand l’otospongiose est plus importante et touche l’os qui compose l’oreille interne, que l’on appel la capsule otique, une surdité dite « perceptionnelle » peut s’ajouter à la surdité transmissionnelle. Cette surdité perceptionnelle ne peut pas être corrigée par une intervention chirurgicale.
3. Comment évolue la maladie ?
Les premiers symptômes auditifs apparaissent généralement entre 10 et 30 ans. La perte auditive s’aggrave progressivement avec le temps et concerne les deux oreilles dans plus de 80% des cas. Chez les femmes on peut observer une aggravation des symptômes durant la grossesse. La maladie se stabilise souvent vers l’âge de 40 ans.
Une instabilité ou des troubles de l’équilibre sont signalé dans 1 cas sur 4, ainsi que des sifflements d’oreille (acouphènes) dans 1 cas sur 2. Ces symptômes peuvent parfois régresser après un traitement chirurgical.
4. Comment faire le diagnostic d’une otospongiose ?
Le diagnostic est suspecté devant une perte d’audition progressive chez un patient qui présente des tympans normaux et une histoire familiale de surdité dès l’âge adulte.
Des tests auditifs montrent une perte d’audition uni ou bilatérale, plus ou moins marquée d’origine perceptionnelle et transmisionnelle (surdité mixte). Les réflexes stapediens peuvent être abolis et la tympanométrie montre une rigidité excessive de la chaine ossiculaire. Un scanner (tomodensitométrie) de l’oreille permet souvent de confirmer le diagnostic et d’évaluer l’importance et la localisation des modifications osseuses.
5. Comment traiter l’otospongiose ?
Il existe plusieurs solutions et le choix du traitement dépend de multiples paramètres qui doivent être discutés avec un médecin ORL.
• Appareillage auditif
La mise en place de prothèse auditive permet d’améliorer l’audition de façon rapide. Ce traitement permet d’éviter une intervention chirurgicale et s’avère souvent très efficace compte tenu du caractère souvent modéré de la surdité et de sa composante essentiellement transmisionnelle. Le caractère disgracieux de ces appareils, le coût, l’entretient et la tolérance de ces prothèses constituent les limites de cette approche.
• Traitement chirurgical
Le traitement chirurgical a pour principe de rétablir la mobilité des osselets grâce à la mise en place d’une micro-prothèse que l’on insert dans la platine de l’étrier et que l’on fixe sur les osselets encore mobiles. Ce traitement est très efficace pour corriger la surdité de transmission. Les acouphènes sont parfois améliorés de façon sensible, mais la composante perceptionnelle de la surdité ainsi que les vertiges ne sont pas améliorés. Le résultat et durable dans le temps. Vous trouverez une vidéo d’explication de cette intervention sur ce site en cliquant sur le lien suivant : « Otospongiose : préparer son intervention ».
• Traitement médical
Une supplémentation alimentaire en fluorure de sodium est une mesure diététique dont l’efficacité est encore débattue car aucune étude n’a à ce jour clairement prouvé son efficacité.
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 23 JUIN 2018
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Otire séreuse | Quiz
Time's up
Perforation du tympan | transcription écrite | Quiz
PERFORATION DU TYMPAN
PERFORATION DU TYMPAN
1. Qu’est-ce qu’une perforation tympanique ?
2. Quelles sont les causes de perforation tympanique ?
3. Quelles sont les conséquences d’une perforation tympanique ?
4. Quel en est le traitement ?
1. Qu’est-ce qu’une perforation tympanique ?
Comme son nom l’indique, il s’agit d’un trou situé sur la membrane du tympan. Le tympan est une fine membrane tendue au fond du conduit auditif qui transmet les vibrations sonores à l’oreille interne.
2. Quelles sont les causes de perforation tympanique ?
Les traumatismes représentent la première cause de perforation tympanique. Il peut s’agir de traumatismes directs, avec des coton tiges par exemple ou de traumatismes liés à la pression comme chez les plongeurs ou suite à une explosion. Des perforations peuvent apparaitre après la mise en place d’aérateurs trans-tympaniques, que l’on appel aussi « diabolo ». Les otites moyennes aiguës sont plus rarement incriminées.
3. Quelles sont les conséquences d’une perforation tympanique ?
La présence d’une perforation à 2 conséquences principales :
• Premièrement, comme le tympan n’est plus étanche, l’oreille est exposée à des risques d’infection. En présence d’une perforation tympanique il est donc important de ne pas faire pénétrer de liquide dans son oreille.
• La deuxième conséquence est une baisse de l’audition qui est plus ou moins importante en fonction de la taille et de la position de la perforation.
4. Quel en est le traitement ?
Si la perforation est due à un traumatisme récent, elle se referme souvent spontanément en quelques semaines. Si la perforation est plus ancienne, si sa taille est trop importante ou si elle est mal positionnée, il peut être nécessaire de réparer le tympan par une intervention chirurgicale appelée « tympanoplastie ».
Cette intervention consiste à refermer la perforation en utilisant différents procédés. Un chirurgien ORL doit réaliser un bilan auditif complet et un examen approfondi de l’oreille afin de déterminer la méthode de réparation qui peut faire appelle à de la graisse, à du cartilage ou du tissu de recouvrement des muscles.
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 1er OCTOBRE 2018
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Perforation du tympan | Quiz
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Acouphènes | Quiz
ACOUPHÈNES | sifflement d’oreille
ACOUPHÈNES | sifflement d’oreille
1. Qu’est-ce qu’un acouphène ?
2. Quelle est la cause des acouphènes ?
3. Quels sont les symptômes des acouphènes ?
4. Faut-il consulter un médecin en cas d’acouphène ?
5. Existe-il un traitement pour les acouphènes ?
1. Qu’est-ce qu’un acouphène ?
Le terme d’acouphène désigne la perception anormale de sons dans une ambiance silencieuse. Il peut s’agir de sifflement, de bourdonnement, de bruit de sonnerie ou de rugissement. Ce problème peut affecté une seule ou bien les deux oreilles. Il peut être transitoire ou persister de façon definitive. Les acouphènes consitutent une gene parfois importante mais sont rarement l’expression d’une maladie importante.
2. Quelle est la cause des acouphènes ?
Ils sont causés par des lésions des cellules de l’oreille interne. Quand ces cellules sont endommagées, elles envoient au cerveau des informations erronées qui indiquent au cerveau la présence d’un son qui n’existe pas en réalité.
Les lésions de l’oreille interne peuvent être dues à :
• Vieillissement normal de l’oreille lié à l’âge (presbyacousie)
• Un traumatisme par des bruits intenses
• Des médicaments toxiques pour l’oreille
• Des traumatismes craniens avec fracture de l’os temporal
• Maladie infectieuses et neurologiques rares
3. Quels sont les symptômes des acouphènes ?
La plupart des personnes perçoivent un son aigue sous la forme d’un sifflement permanent. Chez certaines personnes le son est pulsatile ou s’apparente à un bourdonnement. Ces sons peuvent parfois augmenter ou diminuer lors d’efforts physiques.
4. Faut-il consulter un médecin en cas d’acouphène ?
Si des acouphènes apparaissent et persistent au-delà de 1 à 2 semaines, sans causes évidente. Si les acouphènes sont intenses et s’accompagnent d’autres symptômes comme une baisse de l’audition ou des vertiges, une consultation médicale s’impose afin de poser un diagnostic précis et d’éliminer une causes grave ou pour laquelle un traitement est possible.
5. Existe-il un traitement pour les acouphènes ?
La plupart des acouphènes ne peuvent pas être traité efficacement. Il existe cependant des techniques qui permettent de limiter leur retentissement sur la vie quotidienne.
Les aides auditives
Les personnes qui présent des acouphènes associée à une perte auditive peuvent constater une diminution de la gène lorsqu’il porte des aides auditives. Ces prothèses rendent les sons plus fort et plus intelligibles ce qui a pour effet de masquer les acouphènes.
Thérapies cognitives et comportementales
Ce traitement conduit avec un psychologue est basé sur l’apprentissage de comportements routiniers qui visent à vous distraire de l’acouphène et à progressivement vous en détacher.
Techniques de relaxation
De nombreuses techniques de relaxation peuvent être utiliser afin de mieux vivre avec la présence des acouphènes et de diminuer le retentissement des acouphènes sur sa qualité de vie
Technique de masquage des acouphènes
Elles font appels à des appareils auditifs qui délivrent des sons de faible intensité à l’oreille. Ce signal sonore permet parfois de masquer les acouphènes de façon efficace. D’ailleurs, ce principe est instinctivement utilisé par de nombreuses acouphéniques ,qui écoutent de la musique à faible intensité afin de diminuer la perception des sifflements le soir au moment de l’endormissement.
Traitements alternatifs
D’autre approche sont utilisées pour le traitement des acouphènes sans avoir cependant fait la preuve de leur efficacité, comme l’acupuncture, les infusions d’herbes naturelles ou les stimulations électrique. Avant d’avoir recours à de tels traitements demandez toujours l’avis de votre médecin.
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 23 JUIN 2018
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Acouphènes | Quiz
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Perte de l’audition liée à l’âge | transcription écrite | Quiz
PERTE DE L’AUDITION LIÉE À l’ÂGE | presbyacousie
PERTE DE L’AUDITION LIÉE À l’ÂGE | presbyacousie
1. Peut-on prévenir cette baisse d’audition ?
2. Comment traiter cette baisse de l’audition ?
La perte d’audition liée à l’âge est aussi appelée presbyacousie. C’est un processus de vieillissement normal qui touche les deux oreilles. Elle résulte de la dégénérescence des cellules de l’audition, situées dans l’oreille interne.
Ce processus débute dès l’âge de vingt ans et touche les fréquences aigues avant de s’étendre vers les fréquences conversationnelles. La gêne apparait habituellement autour de 65 ans, mais il existe une grande variabilité selon les personnes. Ainsi, l’âge de l’apparition des symptômes et leur intensité peut être modifié par l’existence de prédispositions génétiques, par la survenue de traumatismes sonores ou la présence de maladies comme le diabète ou les troubles cardio-vasculaires.
1. Peut-on prévenir cette baisse d’audition ?
Oui, il existe des règles de prévention qui permettent de lutter contre la détérioration auditive. Il est essentiel de protéger ses oreilles tout au long de sa vie, en limitant l’intensité sonore et la durée d’exposition aux bruits. Par le port de protections auditives lors de concerts ou de l’utilisation de perceuses et en évitant l’utilisation des casques audios par exemple.
2. Comment traiter cette baisse de l’audition ?
Lorsque la baisse de l’audition provoque un retentissement sur la vie quotidienne, un appareillage auditif peut être proposé. Il améliore la qualité de vie par l’amplification des sons qu’il apporte et prévient les phénomènes d’isolement provoqués par les difficultés de compréhension.
Un examen auditif complet doit être réalisé en consultation par un spécialiste ORL. Cet examen permet de mesurer la perte auditive et d’orienter le patient vers un audioprothésiste lorsque qu’un appareillage est indiqué.
La perte de l’audition liée à l’âge est un problème fréquent qui doit être traité. Si vous souhaitez en savoir plus n’hésitez pas à en parler à votre médecin.
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 1er OCTOBRE 2018
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Presbyacousie | Quiz
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Surdité de l’enfant | transcription écrite | Quiz
SURDITE CHEZ L’ENFANT
SURDITE CHEZ L’ENFANT
1. Comment dépister une surdité chez un enfant ?
2. Existe-il des facteurs de risques ?
3. Quand réaliser un test auditif chez les enfants ?
La surdité de l’enfant est une anomalie fréquente qui touche près d’une naissance sur 1000.
1. Comment dépister une surdité chez un enfant ?
Un déficit auditif peut perturber le développement de la communication et du langage. Il est important de repérer au plus tôt les enfants malentendants afin de leur proposer une prise en charge adaptée sachant que tout retard peu aggraver le retentissement du handicap. Un dépistage systématique est donc proposé pour chaque nouveau-né dès les premiers jours de vie. Si ce test n’est pas concluant, un examen plus approfondi est réalisé rapidement dans un centre de référence.
2. Existe-il des facteurs de risques ?
Les facteurs de risque de surdité sont nombreux, mais heureusement assez rares. Il est impossible ici de tous les lister, mais l’on peut mentionner certaines infections maternelles comme la rubéole ou la toxoplasmose. Les surdités héréditaires existent et la présence d’un membre de la famille sourd ou malentendant (en dehors bien entendu de la surdité liée au vieillissement) constitue un facteur de risque.
La naissance prématurée, les méningites ou les oreillons sont également pourvoyeur de surdité. Plus tard dans l’enfance, les otites à répétition et la présence de liquide derrière le tympan peuvent aussi avoir un retentissement sur l’audition et nécessite une prise en charge adaptée.
3. Quand réaliser un test auditif chez les enfants ?
Un suivi de l’audition doit être réalisé régulièrement au cours de l’enfance.
Si un enfant ne réagit pas aux bruits forts, s’il ne se retourne pas quand on l’appel, ou si il présente un retard de langage, n’hésitez pas à en parler à votre médecin.
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 1er OCTOBRE 2018
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Surdité de l'enfant | Quiz
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Bouchon de cerumen | Quiz
Bouchon de cérumen
Bouchon de cérumen
1. Qu’est-ce qu’un bouchon de cérumen ?
2. A quoi sert le cérumen ?
3. Quelles sont les causes possibles des bouchons de cérumen ?
4. Quels sont les symptômes d’un bouchon de cérumen ?
5. Comment faire le diagnostique d’un bouchon de cérumen ?
6. Comment traiter un bouchon de cérumen ?
7. Comment prévenir la survenue de bouchon de cérumen ?
1. Qu’est-ce qu’un bouchon de cérumen ?
Le cérumen (parfois appelé cire d’oreille) est une matière grasse de couleur jaune à brune, d’aspect cireux qui est produit par les glandes sébacées et cérumineuses présentes dans la peau du conduit auditif externe.
2. A quoi sert le cérumen ?
Le cérumen a pour fonctions de lubrifier et protéger le canal auditif externe ainsi que d’emprisonner les saletés qui s’y accumulent comme les cellules de peau morte, la poussière, des bactéries ou des poils.
Habituellement, le cérumen s’écoule naturellement vers l’extérieur de l’oreille. Parfois, il peut s’accumuler dans le conduit auditif et conduire à la formation d’un bouchon de cérumen qui peut obstruer le conduit au point de gêner l’audition.
3. Quelles sont les causes possibles des bouchons de cérumen ?
Les facteurs favorisant une accumulation de cérumen sont nombreux :
• âge avancé (l’atrophie des glandes cérumineuses peut entrainer la formation d’un cérumen plus sec et plus difficile à expulser par canal)
• conduit auditif externe anormalement étroit
• présence d’une grande quantité de poils dans le canal auditif
• port d’appareils auditifs ou de bouchons d’oreille
• présence d’une excroissance osseuse dans le canal auditif appelée ostéome
• utilisation de coton-tige pour nettoyer l’oreille
• production excessive de cérumen
• présence d’un corps étranger au niveau du conduit auditif
• environnements poussiéreux, notamment en milieu professionnel
• baignades fréquentes (le cérumen tend à gonfler au contact de l’eau)
4. Quels sont les symptômes d’un bouchon de cérumen ?
Un bouchon de cérumen peut se manifester par différents signes :
• baisse d’audition par un défaut de transmission de l’onde sonore vers le tympan
• sensation d’oreilles bouchées ou de pression dans l’oreille
• irritations, démangeaisons ou douleurs dans le conduit auditif
5. Comment faire le diagnostique d’un bouchon de cérumen ?
Pour diagnostiquer un bouchon de cérumen, le médecin doit procéder à une otoscopie. Il s’agit d’un examen du conduit auditif externe et du tympan qui est réalisé au moyen d’un microscope ou d’un otoscope. Cet examen permet de visualiser directement le bouchon, d’évaluer sa taille, sa position et sa consistance.
6. Comment traiter un bouchon de cérumen ?
Un bouchon de cérumen ne doit être retiré que s’il est à l’origine de symptômes notamment d’une perte d’audition.
Le bouchon peut être ramolli par des gouttes qui altèrent la composition du cérumen (cérumenolytiques). Ce traitement est appliqué durant 3 à 5 jours. Il est contre-indiqué chez les patients qui présentent des antécédents otologiques, comme des otites, des perforations du tympan ou une chirurgie de l’oreille.
Des lavages du conduit auditifs par de d’eau tiède au moyen d’une poire auriculaire ou d’un jet de douche peuvent aider à évacuer un bouchon de cérumen. Ce traitement de première intention doit être doux afin de ne pas blesser le conduit auditif et le tympan. Il peut être associé aux traitements cérumenolytiques pour plus d’efficacité.
Si ces traitements se révèlent inefficaces, un médecin ORL doit être contacté afin d’évacuer le bouchon de cérumen manuellement, sous contrôle d’un microscope, au moyen d’une aspiration et une instrumentation adaptée.
Il convient de signaler que l’’ablation d’un bouchon de cérumen asymptomatique est inutile car son évacuation se fait le plus souvent de façon spontanée. De plus l’ablation de bouchon de cérumen expose à des complications rares mais possibles comme une blessure de la peau du conduit auditif, du tympan ou des douleurs.
7. Comment prévenir la survenue de bouchon de cérumen ?
Pour réduire l’accumulation de cérumen dans les oreilles et prévenir l’apparition des bouchons, il est utile de :
• se laver les oreilles délicatement une à deux fois par semaine en faisant pénétrer un peu d’eau eau tiède dans le conduit auditif avec un pommeau de douche
• nettoyer l’orifice externe du conduit auditif avec un mouchoir en papier humide et ne pas utiliser de coton-tige, car ils risquent d’enfoncer le cérumen, de blesser le tympan et de boucher complètement le conduit
• après un bain ou une baignade, se sécher les oreilles avec une serviette afin d’évacuer l’eau qui a pénétré dans le conduit auditif et qui a tendance à faire gonfler le cérumen
• pour les personnes sujettes aux bouchons, protéger ses oreilles dans un environnement poussiéreux ou lors de baignades à l’aide d’un casque ou de bouchons adaptés
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 23 JUIN 2018
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Bouchon de cerumen | Quiz
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Labyrinthite | Quiz
Labyrinthite
Labyrinthite
1. Qu’est-ce qu’une labyrinthite ?
2. Quelle sont les causes des labyrinthites et quelles en sont les symptômes ?
3. Comment traiter une labyrinthite ?
1. Qu’est-ce qu’une labyrinthite ?
La labyrinthite est une inflammation du labyrinthe. Le labyrinthe que l’on appelle aussi « oreille interne » contient deux organes importants :
• la cochlée qui est l’organe de l’audition et qui nous sert à entendre les sons
• le vestibule qui est l’organe de l’équilibre et qui nous signale dans quelle position se trouve notre tête et quels mouvements elle effectue, même lorsque nos yeux sont fermés
2. Quelle sont les causes des labyrinthites et quelles en sont les symptômes ?
Il existe trois grandes formes de labyrinthites :
• la labyrinthite aiguë (communément appelée neuronite vestibulaire ou névrite vestibulaire) : elle est souvent secondaire à une infection virale comme une rhinopharyngite. L’inflammation du vestibule et du nerf vestibulaire provoque une crise vertigineuse rotatoire intense d’apparition rapide. Cette crise initiale dure plusieurs minutes à plusieurs heures et s’accompagne souvent accompagnée de nausées et de vomissements. Dans les formes les plus sévères le patient reste immobilisé au lit plusieurs jours jusqu’à disparition des symptômes. La présence de symptôme auditifs est assez rare. Pour plus de détail, la neuronite vestibulaire fait l’objet d’une fiche spécifique que vous pouvez consulter sur ce site.
• la labyrinthite chronique (également nommée fistule labyrinthique) : L’inflammation du labyrinthe est consécutive à la formation d’un cholestéatome, c’est à dire d’une tumeur bénigne de l’oreille qui résulte d’une accumulation de cellules épidermiques au sein de la caisse de l’oreille moyenne. Ce cholestéatome vient progressivement éroder l’os du labyrinthe et provoque une inflammation et une fuite du liquide qu’il contient (endolymphe et perilymphe). Ce phénomène aboutit à une perte de progressive de l’audition et de la fonction d’équilibre de l’oreille atteinte.
• la labyrinthite suppurée résulte d’une infection bactérienne de l’oreille moyenne appelé otite moyenne aiguë, qui s’aggrave et s’étend pour atteindre le labyrinthe. Elle peut aussi être secondaire à une méningite purulente ou à une fracture du labyrinthique. Ce diagnostic doit être suspecté lorsque apparaissent des troubles auditifs sévère (baisse de l’audition, acouphènes) et des vertiges rotatoires chez un patient qui présente un tableau d’otite moyenne aiguë.
3. Comment traiter une labyrinthite ?
La labyrinthite aiguë l’objet d’une fiche spécifique dans laquelle vous trouverez les modalités de sa prise en charge.
La labyrinthite chronique impose un traitement chirurgical dont l’objectif est de réaliser l’ablation du cholestéatome qui est à l’origine et de refermer les zones d’érosions osseuses du labyrinthe. Cette chirurgie s’accompagne d’un traitement médical qui peut faire appel à des antibiotiques et des anti-inflammatoire.
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 8 FEVRIER 2019
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Labyrinthite| Quiz
Otite externe maligne | Quiz
Otite externe maligne
Otite externe maligne
1. Qu’est ce que l’otite externe maligne ?
2. Quels sont les symptômes de l’otite externe maligne ?
3. Comment se fait le diagnostic d’otite externe maligne ?
4. Quel est le traitement de l’otite externe maligne ?
1. Qu’est ce que l’otite externe maligne ?
L’otite externe désigne une infection de l’oreille qui se limite au conduit auditif externe. Elle provoque une douleur intense de l’oreille qui s’associe parfois à un écoulement sale et une baisse de l’audition. Si cette forme d’otite est relativement fréquente et bénigne, il en existe une, en revanche, qui peut s’avérer beaucoup plus grave : l’otite externe maligne. L’otite externe maligne est une infection de l’oreille externe qui s’étend aux os de la base du crâne. Elle survient généralement chez des personnes ayant un système immunitaire affaibli ou des personnages âgées atteintes de diabète. Cette infection est généralement causée par la bactérie Pseudomonas Aeruginosa qui envahie progressivement l’os temporal et la abase du crâne menaçant ainsi le pronostic vital.
2. Quels sont les symptômes de l’otite externe maligne ?
On retrouve souvent chez des patients fragiles, âgés et diabétiques une douleur de l’oreille souvent aggravée la nuit associée à un écoulement nauséabond (otorrhée). L’examen otologique retrouve du pus et des débris dans le conduit auditif. Il existe généralement un déficit auditif plus ou moins marqué. Dans les cas sévères, une dysfonction du nerf facial peut survenir, à mesure que l’infection s’étend à son contact le long de la base du crâne. Cet atteinte qui se traduit par une paralysie des muscle du visage du coté de l’oreille infectée et caractéristique de l’otite externe maligne.
3. Comment se fait le diagnostic d’otite externe maligne ?
Devant la présence de symptômes évocateur, le diagnostic est confirmé sur les résultats d’un scanner des oreilles et de l’os temporal qui retrouve un aspect grignoté de l’os temporal (plage d’ostéolyse) plus ou moins étendues. La réalisation de prélèvement des sécrétions sales est indispensable afin d’identifier le germe responsable de l’infection et de tester sa sensibilité aux antibiotiques. Enfin, un petit fragment de tissu peut*être prélevé dans le conduit auditif (biopsie) pour s’assurer que les symptômes ne sont pas causés par une lésion cancéreuse.
4. Quel est le traitement de l’otite externe maligne ?
Le traitement de l’otite externe maligne est long et parfois difficile. Il nécessite un traitement par plusieurs antibiotiques administrés simultanément par voie intraveineuse durant 2 à 6 mois.
Ce type traitement nécessite souvent la mise en place d’un dispositif d’injection implantable (porth à cath, Pic-line).
Certaines infections légères ou débutantes peuvent être traitées avec une dose élevée d’antibiotiques par voie oral.
Un contrôle soigneux du diabète est indispensable pour favoriser la guérison, ainsi que des nettoyages répétés du conduit auditif externe qui permettent d’évacuer les débris infectieux. Ces lavages sont réalisés par un spécialiste ORL, qui peut aussi mettre en place des mèches imbibées d’antibiotiques de façon transitoire.
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 8 FEVRIER 2019
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Otite externe maligne | Quiz
Inflammation du tympan | Quiz
MYRINGITE | Inflammation du tympan
MYRINGITE | Inflammation du tympan
1. Qu’est-ce qu’une myringite ?
2. Quels sont les causes de myringite ?
3. Quels sont les symptômes d’une myringite ?
4. Comment faire le diagnostic de myringite ?
5. Comment traiter une myringite ?
1. Qu’est-ce qu’une myringite ?
La myringite définie une inflammation de la membrane tympanique ou tympan.
Le tympan est une fine membrane tendue au fond du conduit auditif externe qui transmet les vibrations sonores à l’oreille interne par l’intermédiaire des osselets.
2. Quels sont les causes de myringite ?
Il existe 2 types de myringite :
• La myringite bulleuse ou phlycténulaire : il s’agit d’une affection du tympan probablement d’origine virale, qui survient fréquemment lors d’épisode de grippe ou de rhinite. On peut aussi la rencontrer au cours d’infections bactériennes, en particulier à Streptococcus pneumoniae, Streptococcus pneumoniae, Haemophilus influenzae ou Moraxella catarrhalis. Cette affection provoque l’apparition de bulles aussi appelées vésicules ou phlyctènes. Ces bulles qui sont caratéristiques de la maladie, correspondent à une rétention de liquide séreux entre la couche conjonctive et la couche épidermique du tympan.
• La myringite réactionnelles : il ne s’agit pas d’une affection du tympan à proprement parler, mais d’une réaction inflammatoire du tympan, qui peut être provoquée par une otite moyenne aiguë, une otite externe ou un cholestéatome.
3. Quels sont les symptômes d’une myringite ?
L’inflammation du tympan provoque une otalgie (douleur à l’oreille) très vive. Dans les myringites bulleuses, l’apparition de cette douleur est brutale et persiste durant 24 à 48 heures. Cette douleur est parfois associée à une otorrhée (écoulement de l’oreille) sanglante ou séreuse, qui apparait lorsque les bulles se percent. Une perte d’audition peut aussi être associée.
4. Comment faire le diagnostic de myringite ?
Devant l’association des symptômes décrits ci-dessus, une otoscopie (examen du tympan) doit être réalisée. Elle met en évidence le caratère inflammatoire du tympan et retrouve les bulles ou phlyctènes à contenu séreux ou hémorragique qui caractérisent la myringite bulleuse. Devant une baisse de l’audition importante une audiométrie tonale doit être réalisée afin d’éliminer une atteinte de l’oreille interne. enfin la présence de fièvre oriente vers une origine bactérienne ou une surinfection.
5. Comment traiter une myringite ?
Le traitement de la myringite bulleuse est le même que celui d’une otite moyenne aiguë. Il repose en première intention sur des traitements symptomatiques par des antalgiques simples comme du Paracétamol, associés à une désinfection des fosses nasales. Si les douleurs sont importantes ou prolongées, elles peuvent être soulagées par des gouttes auriculaires antalgiques, antiseptiques et anti-inflammatoires. L’ouverture des vésicules au moyen d’une aiguille à paracentèse peut être réalisée par une spécialiste ORL si les douleurs résistent au traitement et deviennent insupportables. Enfin une antibiothérapie par voie générale peut être proposée si une infection bactérienne est suspectée.
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 8 FEVRIER 2019
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Inflammation du tympan | Quiz
Appareil auditif | Quiz
AUDIOPROTHÈSE | Appareil auditif
AUDIOPROTHÈSE | Appareil auditif
1. Qu’est-ce qu’un appareil auditif ?
2. Quels sont les différents types d’appareil auditif ?
3. Quand proposer l’appareillage auditif ?
1. Qu’est-ce qu’un appareil auditif ?
Un appareil auditif ou audioprothèse est un dispositif électronique qui a pour objectif de compenser une perte d’audition. Il est constitué de plusieurs éléments qui sont moulé dans une coque plastique que l’on dispose dans le conduit auditif ou en arrière de l’oreille. Les différents composent sont les suivants :
• un microphone qui permet de capter les ondes sonores émises dans l’environnement;
• un microprocesseurs qui analyse les signaux sonores
• un amplificateur qui permet d’ajuster et d’amplifier les sons captés par le microphone;
• un haut-parleur qui transmet les sons amplifiés à l’oreille;
• une batterie pour alimenter les différents composant.
Les appareils auditifs ne se contentent pas d’amplifier le son par une simple augmentation du volume. Ils permettent une amplification et un traitement du son qui varie pour chaque fréquences (grave à aigu), comme on peut le faire avec un équaliseur de chaine Hifi, par exemple. Ce processus est essentiel car il permet d’adapter la restitution du son au profil de pertes auditives de chaque patient, afin d’obtenir un résultat auditif optimal.
2. Quels sont les différents types d’appareil auditif ?
Il existe plusieurs types d’appareil :
• Les intra-auriculaire qui sont des prothèses de toute petite taille située en totalité dans le conduit auditif externe
• Les intra-conque qui sont un peu plus volumineux et qui s’étendent jusque dans le creux du pavillon de l’oreille (la conque)
• Les contours d’oreille qui sont composé d’un boitier électronique qui est disposé en arrière du pavillon de l’oreille, dont la taille varie avec la puissance de l’appareil et d’un embout auriculaire qui est inséré dans le conduit auditif qui transmet les ondes sonores. Il existe de nombreuses variations des appareillages de type contour d’oreille selon la taille de l’appareille, la position des microphones et la forme des embouts auriculaires qui peuvent autoriser ou non l’aération du conduit auditif.
3. Quand proposer l’appareillage auditif ?
L’appareillage auditif peut être proposé quand il existe une perte auditive supérieure à 30dB dans les fréquences conversationnelles situées autour de 2000 Hz. Les appareils sont prescrits après un bilan complet par un spécialiste ORL. De nombreuses maladie des oreilles peuvent conduire à une baisse de l’audition. Lorsqu’il n’existe pas de traitement chirurgical ou médical pour corriger cette surdité la mise en place d’un appareillage est indiquée. La presbyacousie ou perte de l’audition liée à l’âge est le motif de prescription de loin le plus fréquent. Dans ce contexte l’appareillage doit être mis en place le plus rapidement possible afin de préserver les circuits nerveux de l’audition et de maintenir l’intelligibilité de la parole notamment.
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 8 FEVRIER 2019
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Appreil auditif| Quiz
Otite chronique cholestéatomateuse | Quiz
CHOLESTEATOME | Otite chonique cholestéatomateuse
CHOLESTEATOME | Otite chonique cholestéatomateuse
1. Qu’est-ce qu’un cholestéatome ?
2. Quelles sont les causes des cholestéatomes ?
3. Quels sont les symptômes ?
4. Comment faire le diagnostic d’un cholestéatome ?
5. Quelles sont les risques évolutifs d’un cholestéatome ?
6. Comment traiter un cholestéatome ?
1. Qu’est-ce qu’un cholestéatome ?
Le cholestéatome est une poche de tissu cutané situé dans l’oreille moyenne, en arrière de la membrane tympanique. Cette pseudo-tumeur bénigne s’étend progressivement et détruit les structures anatomiques de l’oreille et de la base du crâne qu’elle rencontre lors de son développement.
2. Quelles sont les causes des cholestéatomes ?
Il existe trois causes principales :
• Le cholestéatome acquis primitif qui est le plus fréquent, se développe sur un terrain d’otite chronique. Cette otite associée à un dysfonctionnement de la trompe d’eustache, crée une dépression dans la caisse de l’oreille moyenne qui aspire progressivement le tympan et aboutie à la formation de poches de rétractions. Avec le temps, ces poches de rétractions grossissent et les débris de kératine qu’elles produisent ne peuvent plus s’évacuer, créant ainsi un véritable cholestéatome.
• Le cholestéatome acquis secondaire peut apparaitre à la suite d’une perforation du tympan ou d’une chirurgie de l’oreille. Dans ce cas du tissu cutané qui recouvre la membrane tympanique ou sa périphérie, pénètre dans la caisse de l’oreille moyenne à la faveur du traumatisme, puis elle colonise l’oreille moyenne sous la forme d’un cholestéatome.
• Le cholestéatome congénital est rare (environ 2%). Il est constitué d’un résidu embryologique de peau qui persiste anormalement dans l’oreille moyenne. Ce tissu va progressivement produire des débris de peau et former une petite masse d’aspect blanchâtre en arrière d’un tympan normal. Si elle n’est pas détectée, cette masse va grossir progressivement et se comporter comme un cholestéatome acquis pour provoquer une diminution de l’audition puis d’autres symptômes en fonction des dégâts engendrés dans l’oreille
3. Quels sont les symptômes ?
Le mode de présentation est très variable. Ainsi, les cholestéatomes peuvent ne provoquer aucun symptôme durant plusieurs années. Cependant, leur augmentation de taille progressive et la destruction des structures qu’ils provoquent, finissent souvent par occasionner des symptômes plus ou moins sévères comme :
• un écoulement de l’oreille (otorrhée), souvent malodorant
• une baisse de l’audition qui peut être due à un blocage ou à une destruction de la chaine des osselets et du tympan
• la survenue de sifflement d’oreille ou de vertiges liée à un envahissement de l’oreille interne reste exceptionnel tout comme la survenue de complications infectieuses méningées ou cérébrales
4. Comment faire le diagnostic d’un cholestéatome ?
Le diagnostic repose sur un examen clinique de l’oreille appelé otoscopie. Cet examen est réalisé à l’aide d’instruments optiques et d’un système d’aspirations par un spécialiste ORL. Il met classiquement en évidence une masse située en arrière du tympan, qui peut être associée, à un écoulement d’oreille (otorrhée). La présence d’une perforation, d’une rétraction ou de polypes inflammatoire du tympan n’est pas rare.
Lorsque le diagnostic de cholestéatome est suspecté il est nécessaire de réaliser une batterie d’examens complémentaires dont l’objectif est de confirmer le diagnostic, d’évaluer l’importance de la maladie et d’aider à déterminer la stratégie de traitement :
• un bilan auditif complet appelé audiométrie e permet d’évaluer le retentissement du cholestéatome sur l’audition. Il comporte au minimum un audiométrie tonale et vocal
• un bilan d’imagerie des oreilles par tomodensitométrie (scanner) complété si besoin par une IRM permet d’apprécier l’importance du cholestéatome, d’évaluer les dégâts causés sur les structures de l’oreille et la bases du crâne afin de guider un geste chirurgical.
5. Quelles sont les risques évolutifs d’un cholestéatome ?
Un cholestéatome non traité, progresse inexorablement et provoque l’envahissement et la destruction des structures qui l’entourent. Ce processus peut être à l’origine de complications rares mais potentiellement sévère qui justifient une prise en charge rapide et adaptée :
• une perte sévère et durable d’audition de l’oreille atteinte
• des vertiges et des sifflements d’oreille (acouphènes)
• une méningite ou des abcès cérébraux
• une paralysie du nerf faciale
6. Comment traiter un cholestéatome ?
La présence d’un cholestéatome impose son ablation par un geste chirurgicale sous anesthésie générale. L’intervention a plusieurs objectifs :
• retirer la totalité du cholestéatome ; cette exérèse nécessite un abord de l’oreille moyenne par une incision de la peau réalisée en arrière de l’oreille et impose parfois un fraisage de l’os temporal (mastoïdectomie)
• réparer les dégâts causés par le cholestéatome ; cette réparation peut concerner la chaîne des osselets (ossiculoplastie) et la membrane tympanique (tympanoplastie)
• prévenir les récidives en renforçant le tympan par des fragments de cartilages afin de le rendre plus résistant
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 8 FEVRIER 2019
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Otite chronique cholestéatomateuse | Quiz
Mastoïdite aigüe du nourrisson | Quiz
Mastoïdite aigüe du nourrisson
Mastoïdite aigüe du nourrisson
1. Qu’est-ce qu’une mastoïdite ?
2. Quelles sont les causes de la mastoïdite ?
3. Quels sont les symptômes de la mastoïdite ?
4. Comment faire le diagnostic de mastoïdite ?
5. Comment traiter la mastoïdite ?
1. Qu’est-ce qu’une mastoïdite ?
La mastoïdite est une infection bactérienne des cellules de la mastoïde qui survient essentiellement chez les nourrissons et les enfants de moins de 2 ans. La mastoïde est une structure osseuse située en arrière du pavillon de l’oreille. Cette structure est constituée de cavités osseuses remplies d’air, qui communiquent entre elles. Elle est reliée à l’oreille moyenne par un orifice appelé « aditus ad antrum ». La mastoïde est tapissée d’une muqueuse de type respiratoire. Elle entourée de structures anatomiques importantes comme le nerf facial, le sinus sigmoïde, le cerveau et les méninges.
2. Quelles sont les causes de la mastoïdite ?
La mastoïdite est une complication de l’otite moyenne aiguë purulente. L’infection initialement contenue dans la caisse de l’oreille moyenne gagne la mastoïde. A ce stade on parle de mastoïdite aiguë non suppurée. Puis l’infection envahie la cavité osseuse de la mastoïde pour former un abcès qui s’extériorise le plus souvent en arrière de l’oreille. On parle alors de mastoïdite aiguë abcédée. Les germes responsables sont en général le pneumocoque, le streptocoque pyogène et le staphylocoque doré qui peuvent parfois présenter d’emblée des résistances aux antibiotiques. Il existe cependant une grande variabilité des germes selon les zones géographiques. L’incidence des mastoïdites à nettement diminuée ces dernières années, probablement du fait de la vaccination contre le pneumocoque et d’une meilleure prise en charge des otites moyennes aiguës.
3. Quels sont les symptômes de la mastoïdite ?
Les mastoïdites surviennent généralement chez des enfants qui présentent une otite moyenne aiguë depuis plusieurs jours. Des signes évocateurs d’une diffusion de l’infection à la mastoïde doivent alerter :
• une altération marquée de l’état générale avec de la fièvre.
• une tuméfaction douloureuse, un œdème et une rougeur de la région rétro-auriculaire.
• un décollement du pavillon de l’oreille vers l’avant.
4. Comment faire le diagnostic de mastoïdite ?
Le diagnostic de la mastoïdite est clinique. Devant la présence de signes évocateurs une prise en charge s’impose en urgence par un spécialiste ORL qui réalisera le bilan suivant :
• Un examen otologique complet : l’otoscopie peut mettre en évidence un rétrécissement du conduit auditif externe, une collection purulente en arrière du tympan, une perforation du tympan et une otorrhée.
• Une imagerie en coupe (scanner faible dose ou IRM) de l’oreille et du crâne. Elle permet d’affirmer la présence d’une réaction inflammatoire de la région mastoïdienne ou la présence d’un abcès ou de complications intracrâniennes qui guideront le traitement. Ces examens ne sont pas systématiques dans les formes simples ou débutantes.
• Des prélèvements du pus de l’oreille moyenne : ils doivent être effectués afin d’identifier le germe responsable et d’étudier sa sensibilité aux antibiotiques.
5. Comment traiter la mastoïdite ?
Le traitement de la mastoïdite repose sur une antibiothérapie intraveineuse. Cette antibiothérapie à large spectre est réalisée en secteur hospitalier. Elle est rapidement adaptée aux germes retrouvés sur les prélèvements de pus qui sont réalisés.
Un drainage chirurgical et parfois nécessaire lorsqu’un abcès se constitue au niveau de la mastoïde ou en cas de complications intracrâniennes. Le geste réalisé au bloc opératoire sous anesthésie général consiste à drainer la collection de pus par une incision réaliser en arrière de l’oreille qui peut être compléter par un léger fraisage de l’os infecté.
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 20 FEVRIER 2019
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Mastoïdite aigüe du nourrisson | Quiz
Angine | transcription écrite | Quiz
ANGINE | infection des amygdales
ANGINE | infection des amygdales
1. Qu’est-ce qu’une angine ?
2. A quoi sont dues les angines ?
3. Comment traiter une angine ?
1. Qu’est-ce qu’une angine ?
On appel angine une infection des amygdales. Les amygdales sont des formations de tissu situées de part et d’autre du voile du palais, qui participent au fonctionnement du système immunitaire.
Les angines se manifestent classiquement par une douleur de la gorge lorsque l’on avale qui est associée à une fièvre et une fatigue plus ou moins intense. L’examen retrouve une augmentation du volume des amygdales qui peuvent être rouges ou bien tapissées d’un enduit blanchâtre purulent. La présence de ganglions gonflés et douloureux au niveau du cou n’est pas rare.
2. A quoi sont dues les angines ?
Les angines sont le plus souvent d’origine virale, mais des formes bactériennes sont possibles. Elles sont essentiellement dues à une infection par un streptocoque du groupe A. Cette bactérie qui peut être à l’origine de complications, doit être recherchée par un test de détection rapide. Ce test simple et indolore, consiste à prélever quelques gouttes de mucus dans la bouche au moyen d’un simple coton tige.
3. Comment traiter une angine ?
Lorsque l’angine est d’origine virale, la guérison survient spontanément en 3 à 5 jours. Le traitement vise donc à calmer la douleur par des médicaments antalgiques et diminuer la fièvre par des antipyrétiques.
Lorsque qu’un test de détection confirme que l’angine est d’origine bactérienne, la prise d’antibiotiques est nécessaire. Ils permettent d’éradiquer le germe est de limiter les risques de complication. Il est cependant impératif de respecter la durée et la dose du traitement afin de garantir son efficacité et d’éviter l’apparition de bactéries résistantes.
L’angine est une infection fréquente. Elle est souvent d’origine virale et n’impose pas la prise d’antibiotique. Si vous souhaitez en savoir plus n’hésitez pas à en parler à votre médecin.
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 23 JUIN 2018
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Angine | Quiz
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Troubles de la voix | transcription écrite | Quiz
TROUBLES DE LA VOIX | dysphonie
TROUBLES DE LA VOIX | dysphonie
1. Dysphonie ?
2. Quelles sont les principales causes de dysphonie ?
1. Dysphonie ?
Les troubles de la voix sont nombreux et sont regroupés sous le terme de dysphonie.
La voix peut être enrouée, voilée, cassée ou devenir plus aigue ou plus grave, plus faible ou plus fatigable. Ces troubles résultent toujours d’un défaut de vibration des cordes vocales.
2. Quelles sont les principales causes de dysphonie ?
Les causes sont multiples et il est impossible ici de toutes les énumérer.
On peut cependant présenter les plus fréquentes en commençant par les laryngites. Il s’agit d’une inflammation de la muqueuse qui tapisse les cordes vocales. On distingue les laryngites aigues qui sont souvent provoquées par une infection virale et qui guérissent rapidement, des laryngites chronique qui persistent dans le temps et dont la fumé du tabac ou le reflux gastro-oesophagien peuvent être responsables.
Le malmenage vocal est une cause rependue de dysphonie. Le coup de fouet laryngé est une altération de la voix qui apparait brutalement à la suite d’un cri violent ou d’un hurlement et dont l’évolution est spontanément favorable. Le forçage ou malmenage chronique de la voix peut provoquer chez des professionnels comme les enseignants ou les chanteurs, l’apparition de nodules dans les cordes vocales. Ils modifient la voix de façon durable et imposent une prise en charge spécialisée associant rééducation orthophonique et micro-chirurgie.
Les causes tumorales sont plus rares mais doivent toujours être recherchées. Les cancers des cordes vocales et du larynx surviennent essentiellement chez les patients fumeurs et doivent être dépistés au plus tôt. Ainsi, si une trouble de la voix apparait et persistante au-delà de 8 jours, une consultation chez un spécialiste ORL s’impose, et particulièrement chez les patients fumeurs.
Les troubles de la voix sont analysés puis les cordes vocales sont examinées grâce à système optique afin de proposer une prise en charge adaptée.
Les troubles de la voix sont fréquents et ne doivent pas être négligés. Si vous souhaitez en savoir plus n’hésitez pas à en parler à votre médecin.
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 23 JUIN 2018
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Troubles de la voix | Quiz
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Cancer ORL | Quiz
CANCER ORL | tumeur de la gorge
CANCER ORL | tumeur de la gorge
1. Quels sont les facteurs de risque ?
2. Quels sont les signent évocateurs ?
3. Comment faire le diagnostic ?
4. Quels sont les traitements possibles ?
5. Comment surveiller après le traitement initial ?
Les cancers de la sphère ORL désignent les cancers situées au niveau des voies aérodigestives supérieures c’est à dire de :
• la cavité buccale
• l’oropharynx (en arriere de la bouche)
• le nasopharynx (en arrière du nez)
• le larynx (organe de la voix qui comporte les cordes vocales)
• l’hypopharynx (arrière du larynx)
• les fosses nasale et les sinus
Plus de 9 cancers ORL sur 10 sont des carcinomes épidermoïdes qui proviennent d’une dégénérescence de la muqueuse qui tapisse la sphere ORL.
1. Quels sont les facteurs de risque ?
Plus de 9 cancers sur 10 sont provoqués par une consommation chronique de tabac ou d’alcool. L’association de ces 2 substances toxiques à un effet multiplicatif sur le risque de cancer. Le risque augmente avec la quantité et la durée de l’intoxication.
Les adénocarcinomes de l’éthmoïde sont souvent provoqués par une exposition professionnelle à la sciure de bois.
Les carcinomes indifférenciés du nasopharynx touchent préférentiellement certains groupes ethniques et sont favorisés par une infection par le Virus Epstein Barr (EBV).
Certains carcinomes de l’oropharynx sont favorisés par une infection de la muqueuse par des souches oncogènes du Papilloma Virus Humain (HPV).
2. Quels sont les signent évocateurs ?
Les symptômes sont très variés. Ils sont fonction de la localisation de la tumeur. Il est impossible ici de tous les lister mais certains signent doivent alerter et conduire à une consultation médicale notamment chez les patients fumeurs :
• une blessure de la cavité buccales qui ne disparait pas
• des difficultés persistantes de déglutition
• une modification durable de la voix
• l’apparition de ganglions ou d’une tuméfaction ferme au niveau du cou
• des douleurs de la gorge ou du cou irradiant au niveau de l’oreille
3. Comment faire le diagnostic ?
Un médecin ORL peut identifier les lésions cancéreuses par un examen clinique en consultation, au moyen d’abaisses langue et d’un fibroscope. Si une lésion à risque de cancer est détectée, le médecin ORL organisera un examen endoscopique sous anesthésie générale qui permettra de réaliser un prélèvement (biopsie) dont l’analyse au microscope permet de définir la nature cancéreuse.
Si cette biopsie confirme le diagnostique de cancer, un complément de bilan sera réalisé afin de préciser l’importance de la maladie. Ce bilan comprend essentiellement :
• un scanner et/ou une IRM de la sphere ORL
• un scanner du thorax
• un bilan dentaire
• un bilan nutritionnel
• un bilan pré-opératoire
4. Quels sont les traitements possibles ?
Les traitements sont adaptés à chaque patient en fonction de nombreux paramètre comme :
• le type de cancer
• l’extension locale, la présence de métastases ganglionnaires ou à distance
• l’état générale et la présence de maladies associées
Chaque cas est étudié par un groupe d’expert qui propose un traitement optimal en Réunion de Concertation Pluridisciplinaire (RCP). La décision de traitement est exposée au patient par son médecin référent.
Les traitements font appels à 3 méthodes principales qui sont utilisées seules ou en association.
• La chirurgie qui consiste à retirer la tumeur et les ganglions du cou. Elle est parfois un geste associée de reconstruction de la zone opérée par l’utilisation de lambeaux
• La radiothérapie qui consiste à détruire les cellules tumorales en délivrant des rayons de haute énergie au travers de la peau.
• La chimiothérapie qui fait appel à des médicaments anti-cancéreux conventionnels ou à des traitement plus récents appelés biothérapies, thérapie ciblées ou immunothérapies.
5. Comment surveiller après le traitement initial ?
Une surveillance clinique régulière (en consultation) est indispensable après le traitement initial. Elle à 3 objectifs :
• dépister l’apparition de récidive de la maladie
• identifier la survenue d’un deuxième cancer
• évaluer, prévenir et traiter les séquelles de la maladie et du traitement
Le rythme de de cette surveillance est d’abord rapproché par une consultation tous les 3 mois, puis si l’évolution est favorable, elle peut être progressivement espacée.
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 23 JUIN 2018
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Cancer ORL | Quiz
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Laryngomalacie | Quiz
Laryngomalacie
Laryngomalacie
1. Qu’est ce que la laryngomalacie ?
2. Quels sont les causes de la laryngomalacie ?
3. Quels sont les symptômes de la laryngomalacie ?
4. Comment faire le diagnostique de la laryngomalacie?
5. Comment traiter la laryngomalacie ?
1. Qu’est ce que la laryngomalacie ?
La laryngomalacie ou larynx mou, est une anomalie de développement du larynx qui touche le nourrisson et provoque des difficultés respiratoires. Un excès de souplesse des structures du larynx provoque son affaissement lors de l’inspiration et freine ainsi le passage de l’air. La laryngomalacie est une maladie congénitale, ce qui signifie que celle-ci est présente dès la naissance et ce manifeste dès les premiers jours de vie.
2. Quels sont les causes de la laryngomalacie ?
La cause de la laryngomalacie n’est pas totalement élucidé, plusieurs théories ont été proposées afin d’en expliquer la cause :
• Une anomalie de la forme et de la structure du larynx
• Une dysfonction neurosensorielle conduisant à un manque de coordination des muscles des voies aériennes situés au niveau de la partie supérieur du larynx
3. Quels sont les symptômes de la laryngomalacie ?
La laryngomalacie se manifeste principalement par un stridor qui est un bruit inspiratoire de tonalité aiguë. Ce bruit apparait dès les premiers jours de la vie. Il survient à chaque inspiration et peut être aggravé par l’agitation, les pleurs, l’alimentation et la flexion de la nuque. A l’inverse il peut être amélioré par l’extension de la nuque, la position couchée sur le ventre et la respiration calme.
Dans des formes plus sévères de laryngomalacie on peut observer une toux, une cyanose (coloration bleutée de la peau et des muqueuses lorsque la teneur en oxygène du sang diminue), des régurgitations, des vomissements et une prise alimentaire orale lente.
Un reflux gastro-œsophagien est très souvent présent chez les enfants qui présentent une laryngomalacie.
L’évolution se fait souvent en deux phases. Une augmentation des symptômes durant les premiers mois avec un maximum entre 4 et 8 mois. Puis une phase de résolution spontanée entre l’âge de 12 à 18 mois.
4. Comment faire le diagnostique de la laryngomalacie?
Le diagnostic est évoqué devant la présence d’un stridor chez un nouveau-né. Le diagnostic de laryngomalacie est confirmé à l’aide d’une caméra endoscopique appelé naso-fibroscope qui est introduit par le nez ou la bouche afin d’observer le larynx. Cet examen est réalisé dans la grande majorité des cas en consultation chez un enfant éveillé.
La naso-fibroscopie permet de visualiser une fermeture (collapsus) plus ou moins complète de la partie haute du larynx (sus-glotte) ou encore un basculement de l’épiglotte en arrière, entrainant une gêne au passage de l’air dans le larynx au moment de l’inspiration.
5. Comment traiter la laryngomalacie ?
Dans les formes légères peu symptomatiques de laryngomalacie, qui représentent la majorité des cas, une simple surveillance est réalisée et un traitement médical du reflux gastro-œsophagien peut être proposé. En effet, l’évolution est spontanément favorable avec une disparition du stridor vers l’âge de 12 à 18 mois.
Dans les formes sévères, qui provoquent un retentissement sur l’alimentation, le sommeil et la croissance, un traitement chirurgical peut être proposé. Il consiste à réduire l’excès de tissus situé au niveau des structures supra-glottiques. Ce traitement apporte souvent une amélioration rapide et durable des symptômes. La trachéotomie, est réservée à certaines formes très sévères résistantes aux approches chirurgicales conventionnelles. Un en cas de laryngomalacie sévère. S’il existe des troubles respiratoires du sommeil, un dispositif de ventilation non invasive peut être proposé dans le cas où le traitement chirurgical ne peut être réalisé ou s’il s’avère inefficace.
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 23 JUIN 2018
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Laryngomalacie | Quiz
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Angiome sous-glottique | Quiz
Angiome sous-glottique
Angiome sous-glottique
1. Qu’est ce que l’angiome sous-glottique ?
2. Quels sont les symptômes de l’angiome sous-glottique ?
3. Comment faire le diagnostique de l’angiome sous-glottique ?
4. Comment traiter l’angiome sous-glottique ?
1. Qu’est ce que l’angiome sous-glottique ?
L’angiome sous-glottique est une malformation vasculaire rare et bénigne, située sous les cordes vocales. Elle est la première cause de dyspnée laryngée des nourisson de moins de 6 mois. Il n’a pas à ce jour de cause connue de cette affection qui touche plus deux fois plus les filles que les garçons.
L’évolution est caractéristique. L’interrogatoire note un intervalle de temps libre asymptomatique durant le ou les premiers mois de vie. Puis, l’angiome évolue avec une phase initiale de prolifération rapide de 1 à 3 mois au cours desquels les symptomes apparaisent. Il s’en suit une phase de stabilisation jusqu’à l’age de 1 an puis une involution lente, spontanée et totale. Si l’angiome peut être isolé, la présence associée d’une angiomatose cutanée cervico-faciale associée n’est pas rare.
2. Quels sont les symptômes de l’angiome sous-glottique ?
Le principal symptôme est la dyspnée laryngée, c’est à dire une difficulté respiratoire essentiellement lors de l’inspiration qui oblige le nourrisson à une respiration lente et prolongée. Cette dyspnée est souvent associée à un bruit rauque appelé cornage.
D’autres symptômes peuvent exister, notamment une toux rauque ou des signes de lutte lorsque l’angiome est très obstructif, comme un tirage inspiratoire, qui correspond à un affaissement des creux situés au dessus du sternum et des clavicules, ainsi que des espace situés entre les côtes au moment de l’inspiration.
3. Comment faire le diagnostique de l’angiome sous-glottique ?
La nasofibroscopie est l’examen de 1ère intention devant une dyspnée du nourrisson. Cet examen permet de visualiser le larynx au moyen d’une fine caméra souple introduite par les fosses nasales.
Cet examen met en evidence une tuméfaction sous-glottique (en dessous des cordes vocales), le plus souvent postérieure gauche et dépressible à la palpation. La muqueuse au début a une coloration normale puis avec le temps elle devient couleur lie de vin ou rouge framboise. Si la lésion est typique, elle ne nécessite pas de biopsie, son aspect suffit pour faire le diagnostic.
Lorsque l’examen naso-fibroscopique est difficile ou non contributif, il est possible de réaliser une endoscopie sous anesthésie générale qui permettra de mieux évaluer la lésion.
Une imagerie par scanner ou IRM peut aider au diagnostic mais n’est en général pas nécessaire.
4. Comment traiter l’angiome sous-glottique ?
Si l’angiome est bien toléré, sans retentissement sur la respiration et l’alimentation, une surveillance simple est mise en place en attendant la régression spontanée de l’angiome qui débute à partir de l’âge de 1 an.
Si l’angiome provoque des troubles respiratoires qui perturbent le sommeil et l’alimentation, un traitement doit être envisagé. Le traitement de référence est le propranolol par voie orale. La corticothérapie au long cours n’est plus utilisée à cause de ses nombreux effets secondaires et de son efficacité plus limitée. Les traitements endoscopiques au laser ou les traitements chirurgicaux ne sont pratiquement plus utilisés.
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 23 JUIN 2018
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Angiome sous-glottique | Quiz
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Laryngite aiguë | Quiz
Laryngite aiguë
Laryngite aiguë
1. Qu’est ce que laryngite aiguë ?
2. Quels sont les causes de laryngite aiguë ?
3. Quels sont les symptômes d’une laryngite aiguë ?
4. Comment traiter une laryngite aiguë ?
5. Forme grave : l’épiglottite
1. Qu’est ce que laryngite aiguë ?
La laryngite est une inflammation du larynx qui affecte essentiellement les cordes vocales. Elle est responsable d’un œdème, d’un aspect inflammatoire, rouge et hypervascularisé du plan glottique. La laryngite aiguë se distingue de la forme chronique par une durée d’évolution inférieure à 2 ou 3 semaines.
2. Quels sont les causes de laryngite aiguë ?
Chez l’adulte :
• origine infectieuse : virale le plus souvent associé à une rhinopharyngite banale ; une surinfection bactérienne est possible
• origine traumatique :
– Forçage des cordes vocales : hurlements, chant forcé
– Traumatismes externes : choc laryngé, strangulation ou intubation traumatique
• origine allergique
Il existe des facteurs de risque qui prédisposent à la survenue d’une laryngite comme le tabagisme, l’exposition chronique aux poussières et le reflux gastro œsophagien.
Chez l’enfant :
Les laryngites aiguës sont essentiellement d’origine virale et souvent liées au virus parainfluenzae. Ses infections sont plus fréquentes entre 1 et 3 ans et touchent un peu plus les garçons. On distingue :
• la laryngite aiguë sous glottique d’évolution progressive au cours d’une infection rhinopharyngée banale
• la laryngite striduleuse ou spasmodique qui survient de façon brutale, volontiers la nuit avec des symptômes marqués mais dont l’évolution est bénigne et rapidement favorable
3. Quels sont les symptômes d’une laryngite aiguë ?
Le mode de présentation est variable selon la cause et l’intensité de la laryngite. L’ensemble des symptômes suivant est cependant toujours présent de façon plus ou moins marquée :
• une dysphonie, c’est à dire une voix modifiée, enrouée ou éteinte
• une dyspnée laryngée c’est à dire une difficulté respiratoire à l’inspiration qui peut être accompagnée d’un :
– tirage : creusement du sternum et des creux sous claviculaire à l’inspiration
– cornage : bruit rauque et intense lors de la respiration
• une toux souvent sèche, non productive
• des douleurs ou une gêne laryngée
4. Comment traiter une laryngite aiguë ?
Le traitement est essentiellement symptomatique lorsque la cause est virale ou mécanique. Il associe un repos vocal et des antalgiques. Un traitement des facteurs prédisposant comme un reflux gastro-œsophagien et l’éviction du tabac peut être associé.
Dans les formes les plus sévères, un traitement par corticoïdes en cure courte permet une résolution rapide des symptômes en l’absence de contre-indication.
Les antibiotiques sont réservés aux formes bactériennes des laryngites qui restent relativement rares mais qui sont potentiellement sévères.
Des aérosols humidificateur d’air associés à des corticoïdes et de l’adrénaline peuvent contribuer à une résolution plus rapide des symptômes notamment pour les laryngites sous glottiques de l’enfant.
En cas de mauvaise tolérance respiratoire ou de résistance aux traitements précédemment décrits, une prise en charge en en milieu hospitalier en urgence s’impose.
5. Forme grave : l’épiglottite
L’épiglottite est une forme grave de laryngite aiguë. Elle est provoquée par une bactérie particulière : Haemophilus Influenzae. Elle affecte plus souvent les adultes que les enfants qui sont de plus en plus fréquemment vaccinés.
Le larynx est le siège d’un œdème important et de micro-abcès diffus qui provoquent un tableau de laryngite sévère avec des signes respiratoires importants. Cette laryngite s’accompagne d’une altération de l’état général, d’une fièvre, de douleurs cervicales pré-laryngées et de difficultés à s’alimenter (odynophagie) avec une impossibilité d’avaler sa salive.
Il s’agit d’une urgence thérapeutique extrême qui impose une prise en charge en service de réanimation. Une antibiothérapie intraveineuse et des corticoïdes sont administrés en association à une oxygénothérapie. Une intubation est possible si la dyspnée est trop importante et mal tolérée.
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 23 JUIN 2018
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Laryngite aiguë | Quiz
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Kyste du tractus thyréoglosse | Quiz
Kyste du tractus thyréoglosse
Kyste du tractus thyréoglosse
1. Qu’est-ce qu’un kyste du tractus thyréoglosse ?
2. Comment faire le diagnostic d’un kyste du tractus thyréoglosse ?
3. Quels examens sont nécessaires ?
4. Quel est le traitement du kyste thyréoglosse
1. Qu’est-ce qu’un kyste du tractus thyréoglosse ?
Il s’agit d’une malformation congénitale bénigne du cou, qui se manifeste par l’apparition d’une masse souvent visible et palpable, située juste au-dessus du cartilage thyroïde (pomme d’Adam). Ce kyste est composé de tissu embryonnaire ectodermique (qui forme la peau) qui aurai dû disparaitre au cours de l’embryogénèse. Ces kystes touchent autant les hommes que les femmes et se révèlent souvent chez l’enfant ou l’adulte jeune.
2. Comment faire le diagnostic d’un kyste du tractus thyréoglosse ?
La présentation clinique est souvent très évocatrice. Le kyste se présente sous forme d’une masse de quelques centimètres, située au milieu du cou, en regard de la membrane thyro-hyoïdienne (au niveau de la pomme d’Adam). Cette masse est mobile à la palpation, elle est souple et suit le mouvement du larynx lorsque la personne avale ou tire la langue.
L’apparition du kyste est souvent progressive, mais parfois, il peut se révéler par un épisode inflammatoire ou infectieux qui provoque une augmentation rapide de sa taille, une rougeur et une douleur en regard.
3. Quels examens sont nécessaires ?
Une imagerie est indispensable. Une échographie permet souvent de confirmer le diagnostic, cependant un scanner ou une IRM cervicale doivent toujours être réalisés afin de parfaitement définir la taille, la forme et les limites du kyste. Ces examens permettent de guider un geste chirurgical et de s’assurer que la glande thyroïde est en position anatomique habituelle. Un dosage de la TSH (hormone de régulation de la thyroïde) doit être réalisé pour s’assurer du bon fonctionnement de la glande thyroïde.
4. Quel est le traitement du kyste thyréoglosse
Le traitement est exclusivement chirurgical. Il est nécessaire d’enlever le kyste pour l’analyser au microscope et s’assurer de sa nature bénigne. La chirurgie met fin à l’évolution du kyste, qui avec le temps à tendance à grossir et qui peut être le siège d’infections sévères. Le geste est réalisé sous anesthésie générale. Le kyste est retiré au travers d’une incision limitée réalisée au niveau du larynx. Au cours du geste, il est nécessaire de retirer un fragment de l’os hyoïde (un os du cou sur lequel se fixe le kyste). Ceci permet d’enlever la masse dans sa totalité et de prévenir une éventuelle récidive dont le risque est faible <5%. Si le kyste est découvert au décours d’une infection, il faut attendre que celle-ci guérisse avant de réaliser le traitement chirurgical.
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 23 JUIN 2018
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Kyste du tractus thyréoglosse | Quiz
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Laryngite chronique | Quiz
Laryngite chronique
Laryngite chronique
1. Qu’est-ce qu’une laryngite chronique ?
2. Quels sont les symptômes de la laryngite chronique ?
3. Quelles sont les causes de la laryngite chronique ?
4. Comment faire le diagnostic de laryngite chronique ?
5. Comment traiter une laryngite chronique ?
1. Qu’est-ce qu’une laryngite chronique ?
Les laryngites chroniques correspondent à une inflammation de la muqueuse du larynx qui persistant au-delà de 2 à 3 semaines. Le larynx est un organe de l’appareil respiratoire situé au niveau de la gorge entre le pharynx et la trachée. Cet organe qui abrite les cordes vocales permet de parler, de respirer et protège les poumons des aliments lors de la déglutition. La laryngite chronique est plus fréquente chez l’adulte. Elle touche dans 90 % des cas, des homme fumeur entre 50 et 70 ans.
2. Quels sont les symptômes de la laryngite chronique ?
La dysphonie est le symptôme principale. Le voix est modiée car l’inflamation du larynx s’accompagne souvent d’un oedeme qui perturbe la vibration des cordes vocale. L’intensité de ce trouble est variable. La voix peut apparaître soit trop aiguë, soit trop grave (voix rauque) perdre son intensité (aphonie ou exteinction de voix).
Une toux chronique est parfois présente mais elle est beaucoup plus secondaire et peut s’associée à des douleurs de la gorge et des crachats.
3. Quelles sont les causes de la laryngite chronique ?
Les causes de laryngites chroniques sont multiples. On distingue :
Les maladies spécifiques pour lesquelles la cause est unique et parfaitement identifiable comme la tuberculose, les parasitoses et les granulomatoses laryngées.
Lescauses non spécifiques qui résultent de la combinaison de multiples facteurs étiopathogéniques comme :
• la consommation de tabac, qui est de loin la première cause de laryngite chronique, on parle alors de laryngite tabagique
• l’exposition chronique à des substances allergisantes
• l’inhalation chronique de produits irritants (poussière, amiante, laine de verre…)
• le forcage vocal chronique
• le reflux gastro-œsophagien
4. Comment faire le diagnostic de laryngite chronique ?
Le diagnostic est établie devant des symptômes évocateur par un spécialiste ORL qui réalise un examen du larynx au moyen d’une fibre optique appelée nasfibroscope. Cet examen met en evidence des signes inflammatoire de la muqueuse laryngée comme :
• un aspect rouge et très vascularisé
• un oedeme qui touche essentiellement les cordes vocales
• des lésions spécifiques qui peuvent orienter vers une origine infectieuse ou granulomateuse
Cet examen doit impérativement rechercher une lésion cancéreuse du larynx qui peut simuler ou être associée à un tableau de laryngite chronique, surtout chez le patient fumeur.
5. Comment traiter une laryngite chronique ?
Les causes spécifique de laryngite chroniques bénéficient de traitement ciblé qui dépassent le cadre de cette information.
Les laryngites sans causes spécifiques sont traitées par une éviction des facteurs favorisant:
• arrêt du tabac ou d’une exposition à des facteurs irritants ou allergisant (traitement anti allergique si besoin)
• traitement du reflux gastro-œsophagien
• apprentissage de l’usage intensif de de la voix par des scéances d’orthophonie afin de prévenir le forçage vocal noitamment chez les professionnels de la voix (chanteurs, acteurs, enseignants,…)
• traitement chirurgical par ablation des certaines comme des dysplasies, des nodules ou un oedeme de Rincke
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 8 FEVRIER 2019
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Laryngite chronique | Quiz
Dysphonie – Aphonie | Quiz
Laryngite chronique
Laryngite chronique
1. Définitions
2. Les cordes vocales
3. Les principales causes de dysphonie
4. Les différentes formes de dysphonie
5. Prise en charge
1. Définitions
Une dysphonie est un trouble de la voix lié à un défaut de vibration des cordes vocales.
• La Voix est le son produit par la vibration des cordes vocales au passage de l’air.
• La Parole est le résultat des modifications de ces sons, par le conduit aéro-digestif et que l’on va utiliser pour le langage.
2. Les cordes vocales
Il s’agit de structures anatomiques complexes constituées de muscles, surmontés d’un ligament et recouverte d’un tissu muqueux. Elles sont au nombre de deux et situent dans le larynx, auquel elles sont reliées par des structures cartilagineuses.
• Leur ouverture au repos et lors de la respiration permet le passage de l’air vers et depuis les poumons.
• Leur fermeture lors de la déglutition empêche les aliments de se diriger vers la trachée et les oriente vers l’œsophage.
• Lorsqu’elles sont au contact l’une de l’autre et que l’on expire de l’air, les cordes vocales vont se mettre à vibrer ce qui constitue la voix.
Une tumeur des cordes vocales ou une affection les empêchant de bouger normalement, peuvent donc entrainer une modification de la voix que l’on appelle « dysphonie » voire une perte totale de la voix que l’on appelle « aphonie ».
3. Les principales causes de dysphonie
Les causes de dysphonie sont très nombreuses et l’on ne peut pas toute les citer ici. Parmi ces causes on retrouve souvent :
• Les Laryngites (principale cause) : il s’agit d’une inflammation de la muqueuse des cordes vocales. Elles peuvent être aigues, souvent d’origine virale et de résolution rapide. Elles peuvent être chronique et sont alors favorisées par la consommation de tabac.
• Le « coup de fouet laryngé » : il s’agit d’un cri violent qui entraine un trouble de la voix souvent transitoire.
• Un malmenage chronique de la voix : il peut provoquer l’apparition de nodules ou de polypes des cordes vocales. Ce malmenage touche particulièrement les professionnels de la voix comme les chanteurs, les acteurs, les avocats ou les enseignants.
• Les lésions cancéreuses du larynx : elles peuvent entrainer un trouble de la mobilité et de la vibration des cordes vocales. Les patients fumeurs sont particulièrement exposés à ces cancers du larynx.
• Les lésions traumatiques : elles peuvent survenir après une intubation ou une strangulation et entrainer une dysphonie aiguë.
• Les lésions nerveuses sur le trajet des nerfs responsables de la mobilité des cordes vocale (les nerfs laryngés inférieurs dits « récurrents ». On retrouve ce type de lésions dans les cancers thyroïdiens, pulmonaires, œsophagiens et dans certaines maladies neurologiques.
• La paralysie idiopathique de corde vocale est une cause rare de dysphonie dont l’origine est virale jusqu’à preuve du contraire.
4. Les différentes formes de dysphonie
Les modalités d’expression d’une dysphonie sont très nombreuses. Elles répondent à quelques règles générales.
• Lorsque les cordes vocales ont un défaut de fermeture, elles ne peuvent pas se toucher, ce qui empêche leur vibration normale. La voix sera alors peu intense et soufflée. Le patient devra régulièrement prendre sa respiration entre deux phrases, ce qui lui procure une sensation d’essoufflement. On parle de « Voix de fuite ».
• Dans les formes les plus sévère, si une ou les deux cordes vocales sont paralysées et qu’elles sont éloignées l’une de l’autre, la voix devient quasiment inaudible (aphonie) et l’alimentation est souvent difficile, car les aliments peuvent faire « fausse route », c’est-à-dire qu’ils pénètrent dans la trachée et les poumons en provoquant une toux intense.
• Lorsqu’il existe des anomalies de la muqueuse comme la présence d’un polype ou d’un nodule de corde vocale, les anomalies de la vibration donnent une voix d’intensité normale, mais dont le timbre est souvent éraillé et rauque.
5. Prise en charge
Si un trouble de la voix persiste plus de 15 jours, il est nécessaire d’aller faire un examen des cordes vocales, lors d’une consultation ORL. Le spécialiste utilise un nasofibroscope, qui permet de regarder en détail les cordes vocales et leur mobilité. Des examens plus détaillés peuvent être ensuite proposés, comme un examen stroboscopique des cordes vocales, qui étudie en détail la qualité de leur vibration. Des examens d’imagerie ou une endoscopie sous anesthésie générale sont indiqués lorsqu’il existe une lésion de la muqueuse, surtout chez les patients tabagiques.
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 20 FEVRIER 2019
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Dysphonie - Aphonie | Quiz
Kyste-amygdaloïde | Quiz
Kyste amygdaloïde – Kyste de la 2e fente branchiale
Kyste amygdaloïde – Kyste de la 2e fente branchiale
1. Qu’est-ce qu’un kyste amygdaloïde ?
2. Quels sont les symptômes d’un kyste amygdaloïde ?
3. Comment diagnostiquer un kyste amygdaloïde ?
4. Comment traiter un kyste amygdaloïde ?
5. Quelles sont les complications d’un kyste amygdaloïde ?
6. Le Syndrome Branchio-Oto-Rénal (BOR), qu’est-ce que c’est ?
1. Qu’est-ce qu’un kyste amygdaloïde ?
Un kyste amygdaloïde est une masse cervicale bénigne provoquée par la persistance d’un tissu embryonnaire (issu de la 2ème fente branchial) au niveau du cou. Ce tissu qui doit normalement disparaitre durant la vie fœtale, forme un kyste positionné à la partie haute et latérale du cou en regard de l’os hyoïde. Ce kyste peut apparaitre à tout âge, mais il se révèle le plus souvent chez l’enfant ou l’adulte jeune, sans prédominance de sexe. Il s’agit de la plus fréquente des masses cervicales chronique latérales chez les enfants.
2. Quels sont les symptômes d’un kyste amygdaloïde ?
Cette masse peut apparaitre progressivement, sous la forme d’une simple tuméfaction latérale du cou, souple et indolore. Plus souvent, le mode de révélation est brutal, à l’occasion d’une poussée inflammatoire ou de la surinfection d’un kyste jusqu’à lors inconnu. La masse cervicale apparait alors douloureuse, rouge et chaude. Dans ce cas, on note souvent la présence d’un épisode d’infection des voies respiratoires supérieures qui est probablement à l’origine d’une activation du tissu lymphoïde présent dans la coque du kyste.
3. Comment diagnostiquer un kyste amygdaloïde ?
Devant l’apparition d’une masse latérale du cou, l’avis d’un spécialiste ORL est nécessaire. Il réalisera un examen ORL complet pour éliminer les différentes causes de tuméfactions cervicales. Il prescrira un bilan d’imagerie en coupe, par Tomodensitométrie (scanner) ou une imagerie par résonance magnétique (IRM) du cou. Ces examens permettent d’étudier la position, la taille, le contenu et les contours de la tuméfaction afin d’orienter le diagnostic. La visualisation d’une masse kystique du cou, isolée, au contour réguliers et nets, située en avant des gros vaisseaux en regard de l’os hyoïde, est très fortement évocatrice d’un kyste amygdaloïde. Une ponction du contenu liquidien peut être réalisée en cas de doute. Elle permet de vérifier l’absence de cellules cancéreuses à l’intérieur du kyste. S’il s’agit d’un kyste amygdaloïde la ponction retrouve souvent un liquide épais, visqueux de couleur marron.
4. Comment traiter un kyste amygdaloïde ?
Lorsque le bilan diagnostic suspect la présence d’un kyste amygdaloïde, une prise en charge chirurgicale doit être réalisée. L’intervention a pour objectif de retirer le kyste dans sa totalité au travers d’une incision cutanée. Une fois retiré, le kyste peut être analysé au microscope afin de confirmer son origine. Le kyste étant retiré en totalité, le patient est définitivement guéri. Les cas de récidives sont rares et surviennent lorsque le kyste n’a pas été retiré en totalité.
5. Quelles sont les complications d’un kyste amygdaloïde ?
Même s’il s’agit de tuméfactions bénignes, les kystes amygdaloïdes peuvent évoluer de façon défavorable. Une augmentation de taille finie par les rendre visibles et parfois disgracieux. Ils peuvent aussi être le siège d’une surinfection parfois sévère comme une cellulite ou un abcès cervical. Plus rarement leur volume provoque une gêne cervicale et à la déglutition. Enfin de très rare cas de cancérisation ont pu être rapportés.
6. Le Syndrome Branchio-Oto-Rénal (BOR), qu’est-ce que c’est ?
L’association d’un kyste amygdaloïde à des troubles de l’audition ou des anomalies rénales doit évoquer un diagnostic rare de maladie génétique : le syndrome branchio-oto-rénal ou de Melnick-Fraser. Ce syndrome associe des malformations auriculaires, des fistules branchiales, une surdité profonde et des anomalies rénales et impose une prise en charge multidisciplinaire complexe.
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 20 FEVRIER 2019
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Kyste-amygdaloide | Quiz
Lithiases et coliques salivaires | Quiz
LITHIASE ET COLIQUES SALIVAIRES | calcul des glandes salivaires
LITHIASE ET COLIQUES SALIVAIRES | calcul des glandes salivaires
1. Qu’est-ce qu’une lithiase salivaire ?
2. Quelle est la cause des lithiases salivaires ?
3. Quels sont les symptômes ?
4. Comment faire le diagnostic ?
5. Comment traiter une lithiase salivaire ?
6. Comment prévenir la survenue d’une lithiase salivaire ?
1. Qu’est-ce qu’une lithiase salivaire ?
Une lithiase salivaire est une masse minérale formée de calcium que l’on appelle aussi calcul (caillou) dans le canal excréteur d’une des glandes salivaires. Il peut s’agir des glandes :
• Parotides : situées en dessous et en avant des oreilles
• Submandibulaires : situées sous la mâchoire
• Sublinguales : situées sous la langue
Les lithiases peuvent toucher toutes les glandes salivaires, cependant c’est la glande submandibulaire qui est le plus fréquemment atteinte.
Lorsqu’une lithiase obstrue l’évacuation de la salive, elle est à l’origine d’une douleur intense que l’on appelle : la colique salivaire.
2. Quelle est la cause des lithiases salivaires ?
Dans la majorité des cas, il s’agit de micro-cristaux présents dans la composition de la salive qui s’agglomèrent avec le temps. La cause exacte de ce processus est incertaine, mais quelques facteurs de risque ont été identifiés comme :
• le tabagisme
• les antécédents personnels ou familiaux de lithiases
• les maladies métaboliques comme la goutte ou le syndrome de Sjögren
3. Quels sont les symptômes ?
Les lithiases salivaires sont la plupart du temps asymptomatiques.
Lorsqu’elles se manifestent on observe 2 tableaux principaux :
• la hernie salivaire: il s’agit d’une tuméfaction de la glande salivaire touchée qui est associée à une sensation de pesanteur et de tension majorée au début du repas. Elle est provoquée par le blocage momentané et partiel de l’écoulement de la salive.
• la colique salivaire: il s’agit d’une douleur vive à type de tiraillement en regard de la glande qui survient souvent au même moment que la hernie.
Dans les formes les plus sévères, les lithiases peuvent provoquer une infection de la glande et du conduit salivaire que l’on appelle sialodochite (infection du conduit), ou sialadénite (infection de la glande). Ces infections se manifestent par une inflammation locale, une douleur vive, de la fièvre ainsi qu’une émission de pus lors de la pression de la glande salivaire.
4. Comment faire le diagnostic ?
Le diagnostic est clinique, devant l’apparition de symptômes évocateurs de lithiases salivaires telles que la hernie salivaire ou la colique salivaire.
Des examens complémentaires doivent être réalisés : il peut s’agir d’une radiographie (panoramique dentaire), d’une échographie, d’un scanner ou d’une sialendoscopie.
5. Comment traiter une lithiase salivaire ?
Le traitement varie en fonction de la symptomatologie clinique et de la taille des lithiases :
• lorsque le patient présente peu de symptômes et s’il s’agit d’un micro calcul (<2mm), le traitement est médical ; les symptômes de la colique salivaire sont traités par des médicaments antalgiques et antispasmodiques ; on y associe généralement des sialagogues, c’est-à-dire des substances qui permettent d’amplifier la sécrétion salivaire (rondelles de citron, bonbons acidulés…) ; des massages doux, plusieurs fois par jour, de la glande incriminée peuvent aider à l’évacuation des cristaux.
• quand les symptômes sont plus importants ou qu’il s’agit de macro calculs (>2mm), l’exérèse de la lithiase est souvent nécessaire ; elle peut être réalisée par différents procédés :
– la sialendoscopie: elle consiste à introduire dans le canal de la glande salivaire une fibre optique qui permet la visualisation du calcul, puis son exérèse.
– la lithotritie extracorporelle: elle permet de fragmenter les calculs par des ondes de choc pour permettre l’évacuation des résidus de petite taille par le canal glandulaire.
– la chirurgie endobuccale: elle est réservée aux les calculs les plus volumineux.
Enfin, si les épisodes de lithiases surviennent de manière récurrente malgré les traitements proposés, il est parfois préférable de réaliser l’ablation de la glande impliquée.
6. Comment prévenir la survenue d’une lithiase salivaire ?
La prévention consiste majoritairement en des règles hygiéno-diététiques :
• une bonne hygiène buccodentaire et un sevrage tabagique.
• une hydratation suffisante pour éviter l’accumulation de minéraux et évacuer les lithiases de faible taille.
• la stimulation de la sécrétion salivaire (aliments acidulés, chewing-gum, eau gazeuse…).
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 23 JUIN 2018
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Lithiases et coliques salivaires | Quiz
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Tumeur de la glande parotide | Quiz
TUMEUR DE LA GLANDE PAROTIDE
TUMEUR DE LA GLANDE PAROTIDE
1. Qu’est-ce qu’une lithiase salivaire ?
2. Quelle est la cause des lithiases salivaires ?
3. Quels sont les symptômes ?
4. Comment faire le diagnostic ?
5. Comment traiter une lithiase salivaire ?
6. Comment prévenir la survenue d’une lithiase salivaire ?
1. Qu’est-ce qu’une lithiase salivaire ?
Une lithiase salivaire est une masse minérale formée de calcium que l’on appelle aussi calcul (caillou) dans le canal excréteur d’une des glandes salivaires. Il peut s’agir des glandes :
• Parotides : situées en dessous et en avant des oreilles
• Submandibulaires : situées sous la mâchoire
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Les lithiases peuvent toucher toutes les glandes salivaires, cependant c’est la glande submandibulaire qui est le plus fréquemment atteinte.
Lorsqu’une lithiase obstrue l’évacuation de la salive, elle est à l’origine d’une douleur intense que l’on appelle : la colique salivaire.
2. Quelle est la cause des lithiases salivaires ?
Dans la majorité des cas, il s’agit de micro-cristaux présents dans la composition de la salive qui s’agglomèrent avec le temps. La cause exacte de ce processus est incertaine, mais quelques facteurs de risque ont été identifiés comme :
• le tabagisme
• les antécédents personnels ou familiaux de lithiases
• les maladies métaboliques comme la goutte ou le syndrome de Sjögren
3. Quels sont les symptômes ?
Les lithiases salivaires sont la plupart du temps asymptomatiques.
Lorsqu’elles se manifestent on observe 2 tableaux principaux :
• la hernie salivaire: il s’agit d’une tuméfaction de la glande salivaire touchée qui est associée à une sensation de pesanteur et de tension majorée au début du repas. Elle est provoquée par le blocage momentané et partiel de l’écoulement de la salive.
• la colique salivaire: il s’agit d’une douleur vive à type de tiraillement en regard de la glande qui survient souvent au même moment que la hernie.
Dans les formes les plus sévères, les lithiases peuvent provoquer une infection de la glande et du conduit salivaire que l’on appelle sialodochite (infection du conduit), ou sialadénite (infection de la glande). Ces infections se manifestent par une inflammation locale, une douleur vive, de la fièvre ainsi qu’une émission de pus lors de la pression de la glande salivaire.
4. Comment faire le diagnostic ?
Le diagnostic est clinique, devant l’apparition de symptômes évocateurs de lithiases salivaires telles que la hernie salivaire ou la colique salivaire.
Des examens complémentaires doivent être réalisés : il peut s’agir d’une radiographie (panoramique dentaire), d’une échographie, d’un scanner ou d’une sialendoscopie.
5. Comment traiter une lithiase salivaire ?
Le traitement varie en fonction de la symptomatologie clinique et de la taille des lithiases :
• lorsque le patient présente peu de symptômes et s’il s’agit d’un micro calcul (<2mm), le traitement est médical ; les symptômes de la colique salivaire sont traités par des médicaments antalgiques et antispasmodiques ; on y associe généralement des sialagogues, c’est-à-dire des substances qui permettent d’amplifier la sécrétion salivaire (rondelles de citron, bonbons acidulés…) ; des massages doux, plusieurs fois par jour, de la glande incriminée peuvent aider à l’évacuation des cristaux.
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6. Comment prévenir la survenue d’une lithiase salivaire ?
La prévention consiste majoritairement en des règles hygiéno-diététiques :
• une bonne hygiène buccodentaire et un sevrage tabagique.
• une hydratation suffisante pour éviter l’accumulation de minéraux et évacuer les lithiases de faible taille.
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INFORMATIONS MISES À JOUR LE 23 JUIN 2018
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Tumeur de la glande parotide | Quiz
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Parotidite | Quiz
PARODITIDE
PARODITIDE
1. Qu’est-ce qu’une parotidite ?
2. Quelle est la cause de la parotidite ?
3. Quels sont les symptômes d’une parotidite ?
4. Quels examens complémentaires sont nécessaires ?
5. Quels sont les traitements d’un parotidite ?
1. Qu’est-ce qu’une parotidite ?
La parotidite est une inflammation d’une ou des deux glandes parotides. Il s’agit de glandes situées de chaque côté du visage, en avant et au-dessous de l’oreille et qui ont pour fonction de produire de la salive.
2. Quelle est la cause de la parotidite ?
Il existe deux causes principales, les infections et les maladies auto-immunes :
a. Causes infectieuses :
Causes virales : les parotidites d’origine virale touchent souvent les 2 glandes de façon simultanée.
• Parotidite associée aux oreillons : elle est rare dans les pays occidentaux du fait d’une politique de vaccination quasi-systématique.
• Parotidite associée à virus du SIDA (VIH) : elle peut se rencontrer tout au long de la maladie surtout en l’absence de traitement anti-viral.
• De nombreux autres virus peuvent aussi provoquer une parotidite comme les virus de la grippe ou le virus coxsackie.
Causes bactériennes : les parotidites bactériennes touchent souvent une seule glande.
• Parotidite à germes pyogènes du sujet âgé : il s’agit d’une infection de la glande par des bactéries comme le staphylocoque ou le stroptocoque ; elle est favorisée par une déshydratation et une altération de l’état général chez des sujets âgés souvent hospitalisés.
• Parotidite lithiasique : ces infections surviennent chez des patients aux antécédents de colique salivaire ; le blocage d’un canal excréteur de la glande par un calcul ou lithiase salivaire aboutie à une surinfection que l’on appelle aussi sialadénite.
b. Causes auto-immunes :
• Syndrome de Goujerot-Sjogren : il provoque une inflammation chronique des glandes exocrines par une infiltration lymphoïde (lacrymales, digestives, génitales et respiratoires) ; par ce mécanisme, il provoque un assèchement progressif des glandes salivaires.
• Sarcoïdose : cette lymphogranulomatose touche les glandes salivaires dans 5% des cas et se manifeste par un gonflement parfois inflammatoire des glandes parotides.
3. Quels sont les symptômes d’une parotidite ?
Les symptômes sont variables en fonction de l’origine et du stade de la parotidite. Les symptomes suivant sont présent de façon plus ou moins marquée :
• Un gonflement de la glande parotide
• Une rougeur et une sensation de chaleur autour de la glande
• Des douleurs en regard de la glande qui peuvent augmenter lors de la mastication
• De la fièvre et une altération de l’état général qui traduisent souvent une cause infectieuse virale ou bactérienne
• Du pus au niveau du canal excréteur de la glande (canal de Stenon) à la face interne de joue, traduit une cause infectieuse bactérienne
4. Quels examens complémentaires sont nécessaires ?
Un bilan complet doit être réalisé afin d’identifier la cause de la parotidite. Divers examens peuvent être prescrits en fonction du mode de présentation de la parotidite. Il peut s’agir de :
• Bilan sanguin à la recherche de signe biologique d’infection et d’inflammation et sérologique à la recherche des oreillons ou du VIH
• Bilan d’imagerie par échographie, scanner ou IRM à la recherche d’un calcul ou d’un abcès de la parotide
• Bilan de maladie auto-immun à la recherche d’un syndrome de Goujerot-Sjogren ou d’une sarcoïdose
5. Quels sont les traitements d’un parotidite ?
Le traitement dépendant de la cause de la parotidite. Pour les parotidites infectieuses, un traitement symptomatique de la fièvre et de la douleur sera proposé. Dans les parotidites bactériennes, une bonne hydratation >2 litres d’eau/jour et des traitements qui accélèrent la production et l’excrétion de salive (sialogogues) peuvent aider à évacuer les sécrétions purulentes en association à une antibiothérapie adaptée. La présence de calculs salivaire peut conduire à leur évacuation par technique de sialensocopie. Les maladies auto-immunes bénéficient de traitement spécifiques complexes.
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 23 JUIN 2018
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Tumeur de la glande parotide | Quiz
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Infection des glandes submandibulaires | Quiz
Infection des glandes submandibulaires
Infection des glandes submandibulaires
1. Qu’est-ce qu’une infection des glandes submandibulaires ?
2. Quelles sont les causes d’infection des glandes submandibulaires ?
3. Quels sont les symptômes d’une infection des glandes submandibulaires ?
4. Comment faire le diagnostic d’une infection des glandes submandibulaires ?
5. Quel est le traitement d’une infection des glandes submandibulaires ?
1. Qu’est-ce qu’une infection des glandes submandibulaires ?
Nous possédons tous deux glandes submandibulaires qui sont des glandes salivaires situées au niveau du plancher buccal, en dedans du bord inférieur de la mandibule. Ces glandes peuvent être le siège d’infections virales ou bactériennes que l’on appelle aussi sialadénite ou submandibulite.
2. Quelles sont les causes d’infection des glandes submandibulaires ?
Causes virales : de nombreux virus peuvent provoquer une inflammation des glandes submandibulaires comme les virus de la grippe, Influenzae, Coxsackie, Echovirus, Cytomégalovirus ou le virus Epstein-Barr. L’affection touche alors les deux glandes de façon simultanée et s’associe souvent à une atteinte des autres glandes salivaire (parotides), généralement au décours d’épidémies en hiver et au printemps.
Causes bactériennes : Elles sont dues à une colonisation d’une glande par des bactéries pyogènes (staphylocoques, streptocoques). Elles surviennent lors d’une baisse de l’état général associée à une déshydratation, en particulier chez le sujet âgé. Elles peuvent être favorisées par une infection locale (dentaire, stomatite).
Causes lithiasiques : la présence de calculs (petit cailloux) dans le canal excréteur de la glande (canal de Wharton), provoque une rétention douloureuse de salive dans la glande au moment des repas, que l’on appelle colique salivaire. Cet obstacle peut provoquer au long cours, l’apparition d’une infection bactérienne de la glande.
Les autres causes d’infection sont beaucoup plus rares, comme les infections tuberculeuses à suspecter chez les personnes en situation de précarité et les migrants venant de zones d’endémie (Afrique subsaharienne, Asie du sud-est) ou la sialite chronique non spécifique qui est souvent dues à des malformations anatomiques du canal excréteur ou à des maladies inflammatoires et auto-immunes des glandes salivaires.
3. Quels sont les symptômes d’une infection des glandes submandibulaires ?
Les symptômes suivants sont présents de façon plus ou moins marquée selon l’origine de l’infection :
• Un gonflement de la glande
• Une rougeur et une sensation de chaleur autour de la glande
• Des douleurs en regard de la glande qui peuvent augmenter lors de la mastication
• De la fièvre et une altération de l’état général qui traduisent souvent une cause infectieuse virale ou bactérienne
• Du pus au niveau du canal excréteur de la glande au niveau du frein de la langue, qui traduit une cause infectieuse bactérienne.
• Un gonflement douloureux des ganglions du cou
4. Comment faire le diagnostic d’une infection des glandes submandibulaires ?
Le diagnostic peut être affirmé devant la simple présence des symptômes qui viennent d’être présentés. Des examens complémentaires peuvent être prescrits en fonction du mode de présentation de l’infection. Il peut s’agir d’un bilan sanguin pour rechercher de signes infectieux ou inflammatoires et d’analyses sérologiques à la recherche d’infections virales.
Lorsque l’infection est sévère ou résiste au traitement initial, un bilan d’imagerie par scanner ou IRM est réalisée afin d’éliminer la présence d’un abcès.
5. Quel est le traitement d’une infection des glandes submandibulaires ?
Un traitement symptomatique est prescrit dans tous les cas par antipyrétique et antalgique, et si besoin repos au lit et réhydratation. Une antibiothérapie est mise en route en cas d’infection bactérienne avérée. Des médicaments sialagogues qui accélèrent la production et l’excrétion de salive peuvent aider à évacuer les sécrétions purulentes.
Lorsque l’infection est provoquée par des calculs, une sialendoscopie permet parfois de les éliminer à distance de l’infection. En cas d’infection chronique ou récidivante d’une glande une exérèse chirurgicale peut être proposée.
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 18 JUIN 2019
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Infection des glandes submandibulaires | Quiz
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Vertiges positionnels | Quiz
VERTIGES POSITIONNELS | cupulolithiases
VERTIGES POSITIONNELS | cupulolithiases
1. Qu’est-ce que les vertiges positionnels ?
2. Quelle est la cause de ces vertiges positionnels ?
3. Existe-il des facteurs favorisants ?
4. Quels sont les symptômes ?
5. Comment faire le diagnostic ?
6. Comment traiter des vertiges positionnels ?
1. Qu’est-ce que les vertiges positionnels ?
Le vertige est une sensation au cours de laquelle les patients ressentent une impression de mouvement par rapport à leur l’environnement. Il peut s’agir de mouvement circulaires ou rotatoire ou de mouvement de haut en bas à type d’oscillation.
Le vertige positionnel paroxystique bénin aussi appelé vertige de position, est le plus fréquent de tous les vertiges. C’est un vertige rotatoire, déclenché par les changements de position de la tête ; et un durent moins d’une minute.
2. Quelle est la cause de ces vertiges positionnels ?
Plusieurs systèmes concourent au maintien de l’équilibre : la vision, la proprioception (la sensibilité profonde du corps) et l’appareil vestibulaire de l’oreille interne.
L’appareil vestibulaire est constitué d’organes capables de capter les mouvements linéaires et rotatoires de la tête. Il s’agit de trois canaux qui sont tapissés de milliers de capteurs sensitifs surmonté de petits cristaux de carbonate de calcium (les otolithes) qui agissent comme un pendule. Lors des mouvements de la tête le déplacement des otolithes génère de petites impulsions électriques que le cerveau se charge de décoder afin garder l’équilibre.
Ces otolithes peuvent parfois se détacher de leur support. Lorsqu’ils sont mobilisés par des mouvements de la tête ils génèrent des messages erronés et puissant au cerveau et provoque une sensation de vertige intense caractéristique du vertige positionnel.
3. Existe-il des facteurs favorisants ?
Le mécanisme à l’origine des vertiges positionnel reste souvent indéterminé. Cependant on retrouve parfois une notion de traumatisme crânien, d’infection ORL. On sait aussi que ce type de vertige touche deux fois plus les femmes que les hommes et survient surtout après 55 ans.
4. Quels sont les symptômes ?
Les symptômes sont représentés par l’apparition de vertiges rotatoires, survenant de manière soudaine déclenchés par des changements de position de la tête (Exemple : au lever, coucher). Ces vertiges sont souvent intenses et durent en général moins d’une minute (en moyenne 5 à 20 sec). Le patient ne présente par ailleurs aucune anomalie neurologique.
Cet état vertigineux aiguë paroxystique peut s’accompagner de :
• une instabilité entre les crises
• des nausées et vomissements
• une fatigue intense
5. Comment faire le diagnostic ?
Le diagnostic doit être évoqué devant les symptômes caractéristiques qui viennent d’être présentés. Un médecin ORL spécialisé peut ensuite confirmer le diagnostic au moyen de 2 tests :
- Une manœuvre de provocation qui cherche volontairement à reproduire le vertige ; lors de cette manœuvre, le patient est muni d’un masque de vidéonystagmoscopie qui contient une caméra infrarouge permettant de mesurer les mouvements des yeux ; le médecin fait réaliser au patient un mouvement de bascule rapide qui provoque, après quelques secondes, l’apparition d’un vertige, que le praticien visualise sous la forme de mouvement anormaux des yeux que l’on appelle « nystagmus ».
- Un test appelé VHIT (Video Head Impulse Test). Cet examen permet d’identifier le vestibule malade en observant les mouvements des yeux qui sont induits par de petites mouvements saccadés de la tête.
6. Comment traiter des vertiges positionnels ?
L’évolution se fait spontanément vers une guérison. Sans traitement spécifique, les troubles disparaissent le plus souvent en quelques jours ou semaines. Si les symptômes persistent ou qu’ils deviennent invalidants, par leur intensité ou leur répétition, un médecin ORL peut pratiquer une manœuvre thérapeutique appelé « manœuvre de Semon ». Cette manœuvre qui a pour objectif d’évacuer les otolithes responsables de la pathologie n’est cependant pas toujours efficace.
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 23 JUIN 2018
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Vertiges positionnels | Quiz
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Névrite vestibulaire aiguë | Quiz
NÉVRITE VESTIBULAIRE AIGUË | infection du nerf de l’équilibre
NÉVRITE VESTIBULAIRE AIGUË | infection du nerf de l’équilibre
1. Quelle est la cause des névrites vestibulaires ?
2. Quels en sont les symptômes ?
3. Comment fait-on le diagnostic ?
4. Quel est le traitement ?
5. Quel est le pronostic et l’évolution de cette pathologie ?
La névrite vestibulaire aiguë est une maladie aiguë provoquée par une inflammation d’un des 2 nerfs vestibulaires. Ces nerfs issus du système vestibulaire de l’oreille interne contribuent de façon active au maintient de l’équilibre.
1. Quelle est la cause des névrites vestibulaires ?
L’origine de l’inflammation de ces nerfs n’est pas clairement identifiée. La cause pourrait être une infection virale notamment par des virus de la famille du groupe herpès : HSV, Epstein-Barr Virus, Cytomégalovirus, zona, varicelle…). Il pourrait s’agir aussi d’une cause vasculaire liée à des troubles circulatoires des vaisseaux de l’oreille interne.
2. Quels en sont les symptômes ?
Les patients qui souffrent de névrite vestibulaire aiguë présentent un tableau de vertige. Ce vertige et souvent d’apparition rapide, il est intense est d’allure rotatoire (sensation de tourner sur soi-même ou que l’environnement tourne autour de soi). Des signent neuro-végétatifs à type de nausées et des vomissements accompagnent ce vertige. On ne note pas chez les patients de déficit neurologique ou de troubles de l’audition qui orienteraient vers d’autres diagnostics. L’ensemble de ce tableau se résorbe progressivement en l’espace de plusieurs heures à plusieurs jours.
3. Comment fait-on le diagnostic ?
Le diagnostic d’une névrite vestibulaire aiguë est avant tout clinique. En l’absence de signes en faveur d’une cause neurologique centrale ou d’autres atteintes de l’oreille interne qui peuvent être à l’origine de vertige, le diagnostic est évoqué devant la survenu des symptômes qui viennent d’être cités.
Une évaluation de la fonction des nerfs vestibulaire peut être réalisée au moyen de tests appelés épreuve calorique et VHIT. Ces tests permettent d’évaluer précisement le fonctionnement des vestibules et des nerfs vestibulaires.
4. Quel est le traitement ?
La cause de la névrite vestibulaire aiguë étant mal connue, l’essentiel du traitement repose sur des mesures symptomatiques :
• La verticalisation et la mobilisation précoce est impérative dès que de l’intensité des symptômes diminue. Elles permettent au système nerveux central de compenser le défaut de fonctionnement du nerf vestibulaire endommagé. Il s’agit du moyen le plus efficace pour accélérer la guérison.
• Une hydratation et un fractionnement des prises alimentaires s’impose en cas de vomissements importants en association à des médicaments anti-émétiques.
• Une corticothérapie pendant 7 à 10 jours peut être proposée en l’absence de contre-indication. Elle a montré un effet relatif sur la diminution de la durée des symptômes
• La rééducation vestibulaire peut être bénéfique, pour corriger la sensation de perte d’équilibre lorsque la phase aiguë est passée.
5. Quel est le pronostic et l’évolution de cette pathologie ?
La névrite vestibulaire aiguë est une pathologie bénigne de bon pronostic. Les symptômes de la phase aiguë régressent spontanément au bout de quelques jours quelques jours. La récupération de la fonction vestibulaire peut elle durer jusqu’à quelques semaines et ne s’accompagne pas de perte auditive. Il est cependant possible d’observer des séquelles vestibulaires pouvant être à l’origine de récidives de vertige ou d’une instabilité dans le noir qui justifie le suivi par un médecin spécialisé.
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 23 JUIN 2018
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Névrite vestibulaire aiguë | Quiz
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Paralysie faciale | Quiz
Paralysie faciale a frigore
Paralysie faciale a frigore
1. Quelle est la cause de la paralysie faciale a frigore ?
2. Comment reconnaître une paralysie faciale a frigore ?
3. Comment traiter une paralysie faciale a frigore ?
La paralysie faciale a frigore, que l’on appelle aussi paralysie faciale idiopathique est une maladie qui provoque une paralysie transitoire des muscles d’un côté du visage. Il s’agit de la cause la plus fréquente de paralysie faciale d’origine périphérique.
1. Quelle est la cause des névrites vestibulaires ?
La paralysie faciale a frigore semble être provoquée par une infection virale du nerf facial. Le virus herpes 1 (HVS1) endommage ce nerf qui assure normalement l’innervation motrice des muscles du visage et provoque leur paralysie. D’autres causes sont aussi évoquées comme une ischémie du nerf ou une atteinte auto-immune. Il n’existe pas de facteur de risque clairement identifié à cette affection qui touche les hommes et les femmes à tous les âges de la vie.
2. Quel est le traitement ?
Dans la paralysie faciale a frigore, l’atteinte du nerf entraine des symptômes d’un seul côté du visage, dont l’apparition se fait spontanément et en quelques heures. Ces symptômes évoluent de façon isolée sans autre trouble neurologique, ni affection de l’oreille associée.
• Au repos on peut observer une asymétrie du visage avec un effacement des rides du front, un sourcil abaissé, une diminution ou une absence de clignement de l’œil du côté atteint qui peut entraîner un larmoiement anormal. Une déformation de la bouche (attirée du côté sain), une joue pendante, une chute de la commissure des lèvres (la bouche penche du côté paralysé).
• Lors des mouvements volontaires, le patient ne peut plus, ou difficilement, bouger les muscles du visage du côté incriminé. Il lui est impossible de relever le sourcil, de plisser le front, de fermer l’œil, de gonfler les joues ou de siffler, le sourire est asymétrique.
D’autres signes témoignent de l’atteinte des autres fonctions du nerf facial. On peut noter :
• un œil sec
• un trouble du goût
• une hyperacousie douloureuse : douleur provoquée par les bruits forts
Devant un tel tableau clinique il est nécessaire de consulter un médecin pour s’assurer de l’absence d’une autre cause de paralysie faciale périphérique comme une otite, une cause tumorale ou un autre type d’infection (comme le zona par exemple).
3. Quel est le pronostic et l’évolution de cette pathologie ?
Il n’existe pas de traitement de la cause de la maladie. La récupération se fait spontanément grâce aux mécanismes physiologiques de réparation des fibres nerveuses. Le traitement qui a pour objectif d’accélérer la récupération repose principalement sur une corticothérapie précoce en l’absence de contre-indication. Un traitement antiviral peut également être proposé.
Il est impératif de prendre soin de l’œil du côté atteint par une hydratation régulière à l’aide de collyres ou de pommades qui permettent de compenser le défaut de clignement de la paupière. Durant le sommeil l’œil doit être maintenu fermé par un dispositif adapté. Des séances de kinésithérapie douces peuvent également être réalisées afin d’accompagner la récupération du tonus musculaire.
La durée de la récupération est variable et dépend essentiellement de l’intensité du déficit initial. Elle s’étale généralement sur plusieurs mois et peut être mesurée par des tests objectifs comme l’électromyographie ou l’électroneuronographie. Si une récupération complète est souvent observée, la persistance d’un déficit moteur plus ou moins marqué n’est pas impossible.
INFORMATIONS MISES À JOUR LE 18 JUIN 2019
PAR LE Pr. Benjamin LALLEMANT
Paralysie faciale | Quiz
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